La présidente du Réseau des femmes élues locales de l’Afrique (REFELA, région Afrique de l’Ouest), Fatimetou Mint Abdel Malick, a évoqué, mercredi à Dakar, l’importance d’impliquer les femmes dans la gestion des risques de catastrophe.
‘’Les femmes qu’on qualifie souvent, même si je ne suis pas d’accord, de groupes vulnérables devant les catastrophes sont fortement concernées par ces thématiques et elles doivent être plus présentes eu égard au poids démographique qu’elles représentent’’, a t-elle dit.
Elle présidait l’ouverture d’un atelier de formation de deux jours du REFELA sur l’outil d’auto-évaluation de la résilience face aux catastrophes à l’usage des gouvernements locaux.
Mme Abdel Malick, par ailleurs maire de la commune de Tevragh Zeina dans la ville de Nouackchott, a ainsi indiqué que ‘’les femmes doivent être plus impliquées dans la réduction des risques de catastrophe (…)’’.
‘’Les femmes élues locales sont les premières concernées, car (…) elles doivent être soutenues et réhabilitées. Le travail qu'elles font doit être valorisé, et c’est à travers cela qu’on l’on ira vers une bonne résilience’’ a t-elle souligné.
Après avoir cité la ville de Saint- Louis du Sénégal comme ''exemple de ville championne dans la résilience mais aussi la commune de Tevragh Zeina'', elle a appelé à porter ce combat à travers l’engagement et l’implication du réseau dans la campagne de réduction des risques de catastrophe qui a démarré en 2010.
Selon Mar Lô, expert au Bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophes (UNISDR), cet atelier va permettre de parcourir avec les femmes maires toutes les actions qu’elles ont réalisées au niveau de leurs communes.
''Il s'agira de voir ce qui a marché et ce qu’il faut corriger dans la pratique en matière de prévention et de gestion des catastrophes souvent liées aux aléas naturelles ou aux activités industrielles, a t-il précisé.
‘’L’élu local est en premier chef responsable du développent local, de la sécurité et de l’épanouissement de la population au niveau de sa collectivité locale et ces aspects peuvent être compromis par des catastrophes’’, a t-il indiqué.
D’où l’importance, selon M. Lô, pour les élus locaux de prévenir ces catastrophes à travers une bonne connaissance des mesures de gestion de réduction des catastrophes et leur implication dans la campagne où 1650 villes à travers le monde se sont inscrites.
APs
‘’Les femmes qu’on qualifie souvent, même si je ne suis pas d’accord, de groupes vulnérables devant les catastrophes sont fortement concernées par ces thématiques et elles doivent être plus présentes eu égard au poids démographique qu’elles représentent’’, a t-elle dit.
Elle présidait l’ouverture d’un atelier de formation de deux jours du REFELA sur l’outil d’auto-évaluation de la résilience face aux catastrophes à l’usage des gouvernements locaux.
Mme Abdel Malick, par ailleurs maire de la commune de Tevragh Zeina dans la ville de Nouackchott, a ainsi indiqué que ‘’les femmes doivent être plus impliquées dans la réduction des risques de catastrophe (…)’’.
‘’Les femmes élues locales sont les premières concernées, car (…) elles doivent être soutenues et réhabilitées. Le travail qu'elles font doit être valorisé, et c’est à travers cela qu’on l’on ira vers une bonne résilience’’ a t-elle souligné.
Après avoir cité la ville de Saint- Louis du Sénégal comme ''exemple de ville championne dans la résilience mais aussi la commune de Tevragh Zeina'', elle a appelé à porter ce combat à travers l’engagement et l’implication du réseau dans la campagne de réduction des risques de catastrophe qui a démarré en 2010.
Selon Mar Lô, expert au Bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophes (UNISDR), cet atelier va permettre de parcourir avec les femmes maires toutes les actions qu’elles ont réalisées au niveau de leurs communes.
''Il s'agira de voir ce qui a marché et ce qu’il faut corriger dans la pratique en matière de prévention et de gestion des catastrophes souvent liées aux aléas naturelles ou aux activités industrielles, a t-il précisé.
‘’L’élu local est en premier chef responsable du développent local, de la sécurité et de l’épanouissement de la population au niveau de sa collectivité locale et ces aspects peuvent être compromis par des catastrophes’’, a t-il indiqué.
D’où l’importance, selon M. Lô, pour les élus locaux de prévenir ces catastrophes à travers une bonne connaissance des mesures de gestion de réduction des catastrophes et leur implication dans la campagne où 1650 villes à travers le monde se sont inscrites.
APs