Le paludisme peut être éradiqué dans la région de Saint-Louis où le taux de prévalence de cette maladie est actuellement évalué à o ,75 pour cent, a soutenu, samedi, Abdourahmane Traoré, responsable du bureau régional du Service national de l'éducation et de l'information pour la santé (SNEIPS).
"Depuis un certains temps, la région est dans une dynamique" qui doit l'amener à en finir avec le paludisme, si l'on prend en compte les cas enregistrés, qui sont "en baisse croissante", a-t-il déclaré au cours d'un forum tenu sur le thème "Zéro paludisme, c'est possible, les badiénou gokh s'engagent".
Selon M Traoré, "il est vrai que ce sont les agents de santé qui soignent le paludisme, mais ce sont les communautés qui les combattent et nous avons voulu impliquer ces relais que sont ces badiénou gokh pour accentuer la lutte". "A Richard-Toll, se développe un programme pour l'élimination du paludisme qui a donné de bons résultats et l'objectifs est de l'étendre à toute la région", a dit le responsable de l'EPS, notant que les rares cas enregistrés sont souvent des cas importés par des personnes qui ont été en contact avec la maladie ailleurs avant de séjourner dans la région.
"Des cas autochtones, nous en avons très peu", assure M. Traoré, selon qui ces résultats ont été obtenus grâce à des efforts combinés du gouvernement et du Programme national de lutte contre le paludisme, à partir de politiques de gratuité du test rapide disponible dans toutes les structures de sante. "Ce test qui se faisait dans les laboratoires a été rendu ainsi disponible et a facilité la tache aux médecins", a-t-il souligné, avant de magnifier l'impact des moustiquaires imprégnées vendues à 500 F l'unité partout au Sénégal.
APS
"Depuis un certains temps, la région est dans une dynamique" qui doit l'amener à en finir avec le paludisme, si l'on prend en compte les cas enregistrés, qui sont "en baisse croissante", a-t-il déclaré au cours d'un forum tenu sur le thème "Zéro paludisme, c'est possible, les badiénou gokh s'engagent".
Selon M Traoré, "il est vrai que ce sont les agents de santé qui soignent le paludisme, mais ce sont les communautés qui les combattent et nous avons voulu impliquer ces relais que sont ces badiénou gokh pour accentuer la lutte". "A Richard-Toll, se développe un programme pour l'élimination du paludisme qui a donné de bons résultats et l'objectifs est de l'étendre à toute la région", a dit le responsable de l'EPS, notant que les rares cas enregistrés sont souvent des cas importés par des personnes qui ont été en contact avec la maladie ailleurs avant de séjourner dans la région.
"Des cas autochtones, nous en avons très peu", assure M. Traoré, selon qui ces résultats ont été obtenus grâce à des efforts combinés du gouvernement et du Programme national de lutte contre le paludisme, à partir de politiques de gratuité du test rapide disponible dans toutes les structures de sante. "Ce test qui se faisait dans les laboratoires a été rendu ainsi disponible et a facilité la tache aux médecins", a-t-il souligné, avant de magnifier l'impact des moustiquaires imprégnées vendues à 500 F l'unité partout au Sénégal.
APS