Le projet Typha Sénégal est mis en œuvre par l’ONG GRET en partenariat avec l’UGB et l’ISET de la Mauritanie. Ce projet financé par la Fondation Cartier a pour objectif de mettre en place une filière locale de charbon de typha, en mettant en place et en formant dans le département de Dagana, des entreprises artisanales de production de charbon à base de Typha.
Trois entreprises dans les villages de Ronkh, Pomo et Mbagam ont été mises en place dans le cadre de ce projet, afin de produire du charbon de typha bio. Par ce projet l’ONG GRET contribue à lutter contre l’utilisation de charbon de bois et du bois de chauffe, en proposant une énergie alternative propre avec le charbon de typha.
« Nous mettons en place des entreprises de production de charbon bio à base de typha pour un accès à une énergie propre pour la cuisson. Nous formons les acteurs des entreprises de production dans la technique de production, nous les appuyons dans l’acquisition des équipements (la presse, les clés de séchage et les carbonisateurs), mais nous les accompagnons également dans l’entrepreneuriat pour qu’elles deviennent des entreprises viables et pérennes », a expliqué Mme Sall Ndeye Aminata NDIR, chef du projet.
Pour cette première phase de commercialisation, le kilo est vendu dans les villages d’intervention à 125 francs CFA. « Nous espérons qu’ils puissent le vendre plus cher surtout en zones péri-urbaine et urbaine. L’atout majeur est que le prix du Kilo de charbon bio de typha sera toujours plus bas que le prix du kilo de charbon de bois. Nous nous sommes investis dans l’amélioration de la qualité de ce charbon qui n’est pas nocif pour la santé car ne dégage ni fumée ni odeur», a ajouté Mme SALL Aminata NDIR qui renseigne que les unités peuvent produire jusqu’à 800 kilos par mois, mais que le projet se fixe comme objectif d’augmenter leur capacité de production afin de couvrir les besoins de leur marché en charbon.
Fary DIEYE, membre de l’unité de production de charbon de typha de RONKH a magnifié la pertinence du projet, en évoquant notamment les nombreux problèmes que pose le typha, cette plante envahissante, dans les eaux du fleuve et du lac de Guiers. Elle s’est félicitée par ailleurs des retombées que génère cette nouvelle activité économique pour eux.
>>> Suivez les explications de Mme NDIR et les impressions de Mme DIEYE
Trois entreprises dans les villages de Ronkh, Pomo et Mbagam ont été mises en place dans le cadre de ce projet, afin de produire du charbon de typha bio. Par ce projet l’ONG GRET contribue à lutter contre l’utilisation de charbon de bois et du bois de chauffe, en proposant une énergie alternative propre avec le charbon de typha.
« Nous mettons en place des entreprises de production de charbon bio à base de typha pour un accès à une énergie propre pour la cuisson. Nous formons les acteurs des entreprises de production dans la technique de production, nous les appuyons dans l’acquisition des équipements (la presse, les clés de séchage et les carbonisateurs), mais nous les accompagnons également dans l’entrepreneuriat pour qu’elles deviennent des entreprises viables et pérennes », a expliqué Mme Sall Ndeye Aminata NDIR, chef du projet.
Pour cette première phase de commercialisation, le kilo est vendu dans les villages d’intervention à 125 francs CFA. « Nous espérons qu’ils puissent le vendre plus cher surtout en zones péri-urbaine et urbaine. L’atout majeur est que le prix du Kilo de charbon bio de typha sera toujours plus bas que le prix du kilo de charbon de bois. Nous nous sommes investis dans l’amélioration de la qualité de ce charbon qui n’est pas nocif pour la santé car ne dégage ni fumée ni odeur», a ajouté Mme SALL Aminata NDIR qui renseigne que les unités peuvent produire jusqu’à 800 kilos par mois, mais que le projet se fixe comme objectif d’augmenter leur capacité de production afin de couvrir les besoins de leur marché en charbon.
Fary DIEYE, membre de l’unité de production de charbon de typha de RONKH a magnifié la pertinence du projet, en évoquant notamment les nombreux problèmes que pose le typha, cette plante envahissante, dans les eaux du fleuve et du lac de Guiers. Elle s’est félicitée par ailleurs des retombées que génère cette nouvelle activité économique pour eux.
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