Si les saint-louisiens se plaisaient à dire que leur ville est une cité religieuse parce que tous les grands érudits et autres hommes de Dieu sénégalais et africains y ont séjourné, aujourd’hui, ils sont nombreux à se demander si leur terre natale n’est pas un Far West où des boutiques spécialisées dans la vente de boissons alcoolisées qui ressemblent à des saloons poussent comme des champignons. Les Sénégalais ont l’habitude de faire du suivisme.
Il suffit juste que quelqu’un crée un business pour que d’autres lui emboîtent le pas. Nous avons par le passé connu le phénomène des télécentres. Ces télécentres, une fois créés par un petit nombre, ont fini par se propager dans chaque coin de rue jusqu’à ce qu’ils disparaissent à cause de la forte concurrence. Mais, aujourd’hui, nous assistons à la prolifération de boutiques qui vendent de la boisson alcoolisée.
Presque dans tous les quartiers de Saint-Louis, des gens s’adonnent à la vente de cette boisson alcoolisée. Cela a fini par créer des ivrognes, dénonce Babacar DIOP, rencontré sur le quai Henry Jay.
Lu dans L’OBSERVATEUR
Il suffit juste que quelqu’un crée un business pour que d’autres lui emboîtent le pas. Nous avons par le passé connu le phénomène des télécentres. Ces télécentres, une fois créés par un petit nombre, ont fini par se propager dans chaque coin de rue jusqu’à ce qu’ils disparaissent à cause de la forte concurrence. Mais, aujourd’hui, nous assistons à la prolifération de boutiques qui vendent de la boisson alcoolisée.
Presque dans tous les quartiers de Saint-Louis, des gens s’adonnent à la vente de cette boisson alcoolisée. Cela a fini par créer des ivrognes, dénonce Babacar DIOP, rencontré sur le quai Henry Jay.
Lu dans L’OBSERVATEUR