La réforme des textes encadrant le sport, la concertation du ministère de tutelle avec les collectivités locales et la diversification des ressources financières sont des préalables à une bonne politique sportive, a expliqué, mardi à Saint-Louis (nord), Tanor Gning, directeur de cabinet du ministre des Sports.
"Une bonne gouvernance sportive impose la réforme des textes qui datent de plus 150 ans et ne sont plus adaptés", a affirmé M. Gning à l’ouverture d’un atelier sur le sport, à l’initiative du Conseil régional de Saint-Louis.
Mais il ne suffit pas de réformer les textes encadrant le sport, selon lui. Encore faut-il "également aménager des espaces de concertation entre le ministère des Sports et les collectivités locales, et se pencher sur le renforcement et la diversification des ressources financières", a-t-il souligné.
La création d'infrastructures en grand nombre et de bonne qualité est une condition du développement du sport, selon Tanor Gning.
Les médias peuvent jouer un rôle important dans la politique sportive d'un pays, en participant à la création d'un "mouvement sportif compétitif et crédible", a-t-il souligné, précisant que l'atelier de Saint-Louis est le prolongement de celui organisé en janvier dernier, dans la même ville, par l'Association nationale de presse sportive (ANPS) du Sénégal.
La présidente du Comité régional olympique et sportif de Saint-Louis (CROS), Mame Penda Diouf, a évoqué "le passé glorieux" de cette région, qui a été "le berceau du mouvement sportif" sénégalais.
Comme l'ANPS, le Comité national olympique et sportif sénégalais (CNOSS) participe à l'organisation de l'atelier qui, selon son secrétaire général Seydina Diagne, doit aider à "propulser le sport saint-louisien".
APS
"Une bonne gouvernance sportive impose la réforme des textes qui datent de plus 150 ans et ne sont plus adaptés", a affirmé M. Gning à l’ouverture d’un atelier sur le sport, à l’initiative du Conseil régional de Saint-Louis.
Mais il ne suffit pas de réformer les textes encadrant le sport, selon lui. Encore faut-il "également aménager des espaces de concertation entre le ministère des Sports et les collectivités locales, et se pencher sur le renforcement et la diversification des ressources financières", a-t-il souligné.
La création d'infrastructures en grand nombre et de bonne qualité est une condition du développement du sport, selon Tanor Gning.
Les médias peuvent jouer un rôle important dans la politique sportive d'un pays, en participant à la création d'un "mouvement sportif compétitif et crédible", a-t-il souligné, précisant que l'atelier de Saint-Louis est le prolongement de celui organisé en janvier dernier, dans la même ville, par l'Association nationale de presse sportive (ANPS) du Sénégal.
La présidente du Comité régional olympique et sportif de Saint-Louis (CROS), Mame Penda Diouf, a évoqué "le passé glorieux" de cette région, qui a été "le berceau du mouvement sportif" sénégalais.
Comme l'ANPS, le Comité national olympique et sportif sénégalais (CNOSS) participe à l'organisation de l'atelier qui, selon son secrétaire général Seydina Diagne, doit aider à "propulser le sport saint-louisien".
APS