La journée de l’enfant africain a été célébrée, dimanche, à Saint-Louis à travers un panel sur l’abandon des mutilations génitales féminines. Plusieurs acteurs régionaux oeuvrant dans la protection de l’enfance ont participé à la rencontre organisée par le Forum Régional des Jeunes et Enfants Leaders (FORJEL) en collaboration avec le bureau régional de Bridge Kids International. Une randonnée de sensibilisation sur la situation de cette couche vulnérable a été organisée en prélude à la mobilisation sociale marrainée par Mme Absatou KANE.
« La prise en charge des droits des enfants passera nécessairement par une meilleure représentation dans les instances de décisions », a déclaré Mame Mory CISSE, le président du Forjel. « Les enfants n’ont pas de pouvoir économique ou de capacités d’influence, car n’ayant pas encore atteint l’âge du vote. Toutefois, ils sont l’avenir de demain », a-t-il rappelé.
Mme Nafissatou Diagne SALL, la directrice de Bridge Kids s’est inscrite dans ce sillage. Elle a plaidé pour une matérialisation des solutions identifiées en vue de mettre fin à la maltraitance des enfants. « Les jeunes doivent s’engager, se mobiliser et travailler comme un seul homme pour prendre en charge leur devenir », a-t-elle dit.
« La prise en charge des droits des enfants passera nécessairement par une meilleure représentation dans les instances de décisions », a déclaré Mame Mory CISSE, le président du Forjel. « Les enfants n’ont pas de pouvoir économique ou de capacités d’influence, car n’ayant pas encore atteint l’âge du vote. Toutefois, ils sont l’avenir de demain », a-t-il rappelé.
Mme Nafissatou Diagne SALL, la directrice de Bridge Kids s’est inscrite dans ce sillage. Elle a plaidé pour une matérialisation des solutions identifiées en vue de mettre fin à la maltraitance des enfants. « Les jeunes doivent s’engager, se mobiliser et travailler comme un seul homme pour prendre en charge leur devenir », a-t-elle dit.