S'exprimant au nom de l'équipe pédagogique, Adama Wade, le directeur de l'école a magnifié l'importance de ces réalisations en indiquant que ''désormais, les élèves pourront apprendre en toute sécurité''. ''Notre établissement ne sera plus le passage des troupeaux et de chiens errants'', a-t-il dit.
''Notre école a changé de visage. Elle s'est inscrite dans une dynamique de progrès et de qualité '', a ajouté M. Wade qui soutient que ces réalisations vont encourager davantage la scolarisation des enfants dans cette localité.
Ibrahima Ndao, le Sous-préfet de l'arrondissement de Rao a insisté sur la pertinence de ces nouvelles infrastructures mise œuvre par le Paems et demande aux populations de la localité d'en prendre soin. Il a indiqué que ces réalisations structurantes permettront d'améliorer les conditions d'apprendre des enfants.
''Notre école a changé de visage. Elle s'est inscrite dans une dynamique de progrès et de qualité '', a ajouté M. Wade qui soutient que ces réalisations vont encourager davantage la scolarisation des enfants dans cette localité.
Ibrahima Ndao, le Sous-préfet de l'arrondissement de Rao a insisté sur la pertinence de ces nouvelles infrastructures mise œuvre par le Paems et demande aux populations de la localité d'en prendre soin. Il a indiqué que ces réalisations structurantes permettront d'améliorer les conditions d'apprendre des enfants.
Le Paems cible 66 écoles élémentaires dans les régions de Saint-Louis et Matam. Ce programme d'une durée de 3 ans (2012-2015) est soutenu par l'Agence française de Développement, le Sicoval, la Société de Cultures légumières (SCL), dans le cadre de la responsabilité sociétale, des Agences de l'Eau et différentes collectivités locales françaises dans le cadre d'accords de coopération décentralisée.
Abdoulaye Dièye, chef de projet du Paems a salué ''la forte collaboration'' entre le Partenariat et les services techniques de l'État en indiquant que cette synergie ''a propulsé les actions et rendre la réussite plus éclatante''.
''57% des écoles de la région de Saint-Louis souffrent d'un manque d'eau alors que 65% des établissements scolaires n'ont pas de clôture et 35% sont dépourvus d'un bloc sanitaire'', renseigne M. Dièye qui précise que ces défaillances provoquent et aggravent un important stress hydrique dans ces écoles. ''Nous sommes conscients que l'eau, les clôtures et latrines sont des facteurs de scolarisation. Nous avons l'ambition de faire 22 écoles par an'', a-t-il noté.
Ndarinfo.com
Abdoulaye Dièye, chef de projet du Paems a salué ''la forte collaboration'' entre le Partenariat et les services techniques de l'État en indiquant que cette synergie ''a propulsé les actions et rendre la réussite plus éclatante''.
''57% des écoles de la région de Saint-Louis souffrent d'un manque d'eau alors que 65% des établissements scolaires n'ont pas de clôture et 35% sont dépourvus d'un bloc sanitaire'', renseigne M. Dièye qui précise que ces défaillances provoquent et aggravent un important stress hydrique dans ces écoles. ''Nous sommes conscients que l'eau, les clôtures et latrines sont des facteurs de scolarisation. Nous avons l'ambition de faire 22 écoles par an'', a-t-il noté.
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