La piste latéritique qui relie Ndiakhère à la RN 2 se trouve dans un état défectueux très avancé et cette route devenue impraticable rend difficile l'évacuation des malades vers les structures sanitaires mais aussi l’écoulement des produits agricoles et du sel produit en grande quantité dans cette localité.
Les populations expriment leur ras-le-bol et demandent à l’Etat de mettre fin à leurs « souffrances ».
Leurs braves dames font partie des 4000 exploitants des sept villages du Gandiolais qui produisent chaque année plus d’un million de tonnes de sel. Les femmes de Ndiakher sont obligées de parcourir tous les jours un trajet de 5 kms, sur une piste latéritique, pour déposer leur production au bord de la route nationale.
Les populations estimées à plus de 5000 habitants réclament le butinage de cette route et dénoncent la vétuste de l’école élémentaire construit depuis 1984. Ils exigent en outre l’adduction de la vallée de Ndiakhalar pour relancer l’agriculture dans cette zone.
Les populations expriment leur ras-le-bol et demandent à l’Etat de mettre fin à leurs « souffrances ».
Leurs braves dames font partie des 4000 exploitants des sept villages du Gandiolais qui produisent chaque année plus d’un million de tonnes de sel. Les femmes de Ndiakher sont obligées de parcourir tous les jours un trajet de 5 kms, sur une piste latéritique, pour déposer leur production au bord de la route nationale.
Les populations estimées à plus de 5000 habitants réclament le butinage de cette route et dénoncent la vétuste de l’école élémentaire construit depuis 1984. Ils exigent en outre l’adduction de la vallée de Ndiakhalar pour relancer l’agriculture dans cette zone.