Les faits ont eu lieu en janvier dernier dans le village de Mbelel Boucar du département de Podor où l’accusé a tiré à bout portant sur la victime Sidaty Yoro Sy, avec un fusil à chevrotine ne lui laissant aucune chance.
Informée, la gendarmerie effectue une descente sur les lieux et trouve la victime gisant par terre à coté de son coupe-coupe. Une douille a été retrouvé sur les lieux du drame.
L'enquête mène à l’arrestation Moussa Sy qui avait gardé, dans sa chambre, l’arme du crime.
Devant la barre, il reconnait les faits, expliquant son acte par l’irritation née chez lui après avoir trouvé la victime en galante compagnie avec une femme mariée. Pire encore, il le menace avec son coupe-coupe pour toute réponse à ses remarques. Pour éviter de subir sa colère, il use de son fusil de chasse pour le tuer.
Des allégations qui n’ont pas convaincu l’avocat général Abdoulaye Diagne pour qui l’accusé a volontairement donné la mort et avait prémédité son acte.
Pour lui la thèse de assassinat est bien établie. Les relations entre les protagonistes ont été envenimés par la victime qui avait enlevé la femme du cousin de Moussa Sy qui avait nourri le désir de venger cette humiliation.
La victime avait eu maille à partit avec la justice du fait de cet acte, selon l’avocat général qui a dit que Moussa Sy nourrissait une haine viscérale à l’encontre de Sidaty Yoro Sy.
Pour réparer son acte, il a demandé une condamnation à vingt ans de travaux forcés pour Moussa Sy qui a vidé ses 91 cartouches sur sa victime dont les organes ont été complétement anéantis.
La défense assurée par Me Mahtar Diop a plaidé l’excuse pour toute réponse à ses remarques.
La cour a finalement reconnu Moussa Sy coupable de meurtre et l'a condamné à dix ans aux travaux forcés.
aps
Informée, la gendarmerie effectue une descente sur les lieux et trouve la victime gisant par terre à coté de son coupe-coupe. Une douille a été retrouvé sur les lieux du drame.
L'enquête mène à l’arrestation Moussa Sy qui avait gardé, dans sa chambre, l’arme du crime.
Devant la barre, il reconnait les faits, expliquant son acte par l’irritation née chez lui après avoir trouvé la victime en galante compagnie avec une femme mariée. Pire encore, il le menace avec son coupe-coupe pour toute réponse à ses remarques. Pour éviter de subir sa colère, il use de son fusil de chasse pour le tuer.
Des allégations qui n’ont pas convaincu l’avocat général Abdoulaye Diagne pour qui l’accusé a volontairement donné la mort et avait prémédité son acte.
Pour lui la thèse de assassinat est bien établie. Les relations entre les protagonistes ont été envenimés par la victime qui avait enlevé la femme du cousin de Moussa Sy qui avait nourri le désir de venger cette humiliation.
La victime avait eu maille à partit avec la justice du fait de cet acte, selon l’avocat général qui a dit que Moussa Sy nourrissait une haine viscérale à l’encontre de Sidaty Yoro Sy.
Pour réparer son acte, il a demandé une condamnation à vingt ans de travaux forcés pour Moussa Sy qui a vidé ses 91 cartouches sur sa victime dont les organes ont été complétement anéantis.
La défense assurée par Me Mahtar Diop a plaidé l’excuse pour toute réponse à ses remarques.
La cour a finalement reconnu Moussa Sy coupable de meurtre et l'a condamné à dix ans aux travaux forcés.
aps