Les membres de la section Saint-Louis de l'Association Nationale des retraités civils et militaires du Fnr (Fonds national de retraite) ont attiré ce mardi l'attention des autorités étatiques sur l’urgence et la nécessité de revoir à la hausse le montant de leurs pensions de retraite qu'ils jugent dérisoire. Une question qui a été au cœur de leurs doléances exprimées face à la presse. Ils n'ont pas manqué aussi de souligner l’éternel problème auquel font face les veuves de ces retraités civils et militaires.
En effet, ces dernières se retrouvent, après le décès de leurs époux, avec la moitié de cette pension. C'est le Président de la Section de Saint-Louis de cette association, Pape Ndiaye et son Secrétaire général, Magol Gueye qui, à tour de rôle, l'ont fait savoir en présence de leurs membres.
"Nous n’avons que la voie de la presse pour nous faire entendre et amener les pouvoirs publics à se pencher sur nos revendications. Malheureusement, depuis 2011, rien n’est fait par le Gouvernement pour satisfaire nos doléances", ont-ils déploré tout en se désolant du fait que "depuis plus de 11 ans, nous sommes oubliés et marginalisés, nous exigeons de toutes les autorités étatiques, à tous les niveaux qu’elles se situent, le respect, la considération et la reconnaissance dus aux retraités. Les pensionnés du Fnr souffrent de multiples situations difficiles, d’ordre, à la fois, social, sanitaire, mais surtout financier, qui frisent la paupérisation de nos familles".
A en croire toujours Magol Gueye, "le montant des pensions du Fnr ne cesse de diminuer depuis 2011, compte-tenu du renchérissement permanent du coût de la vie. Car, dit-il, si avec le salaire d’avant la retraite, le fonctionnaire arrivait difficilement à subvenir aux besoins de sa famille, comment peut-il joindre les deux bouts avec une pension qui doit permettre d’entretenir la même famille qui se trouve sans emplois et sur laquelle il a énormément investi en matière d’éducation et de formation".
Pour l'heure, ces retraités du Fnr croisent des doigts et prient avec l'espoir que le gouvernement leur prêtera une oreille attentive pour une résolution définitive de leurs doléances.
En effet, ces dernières se retrouvent, après le décès de leurs époux, avec la moitié de cette pension. C'est le Président de la Section de Saint-Louis de cette association, Pape Ndiaye et son Secrétaire général, Magol Gueye qui, à tour de rôle, l'ont fait savoir en présence de leurs membres.
"Nous n’avons que la voie de la presse pour nous faire entendre et amener les pouvoirs publics à se pencher sur nos revendications. Malheureusement, depuis 2011, rien n’est fait par le Gouvernement pour satisfaire nos doléances", ont-ils déploré tout en se désolant du fait que "depuis plus de 11 ans, nous sommes oubliés et marginalisés, nous exigeons de toutes les autorités étatiques, à tous les niveaux qu’elles se situent, le respect, la considération et la reconnaissance dus aux retraités. Les pensionnés du Fnr souffrent de multiples situations difficiles, d’ordre, à la fois, social, sanitaire, mais surtout financier, qui frisent la paupérisation de nos familles".
A en croire toujours Magol Gueye, "le montant des pensions du Fnr ne cesse de diminuer depuis 2011, compte-tenu du renchérissement permanent du coût de la vie. Car, dit-il, si avec le salaire d’avant la retraite, le fonctionnaire arrivait difficilement à subvenir aux besoins de sa famille, comment peut-il joindre les deux bouts avec une pension qui doit permettre d’entretenir la même famille qui se trouve sans emplois et sur laquelle il a énormément investi en matière d’éducation et de formation".
Pour l'heure, ces retraités du Fnr croisent des doigts et prient avec l'espoir que le gouvernement leur prêtera une oreille attentive pour une résolution définitive de leurs doléances.