C’est le grand banditisme qui règne à Pikine 700 où une population désespérée est sous la menace permanente d’agresseurs, voleurs et autres malfaiteurs de tout âge.
Dans le quartier ‘’Aynou Rahmati’’ situé au terminus du populeux quartier de Pikine, les attaques sur des personnes innocentes sont récurrentes, sans compter les nombreux cas de vols et tentatives de viol.
‘’Le sable est trafiqué et vendu dans la ville au moyen de charrettes conduites parfois par des individus prêts à en découdre avec ceux qui veulent combattre leur commerce illicite’’, révèle M. Niasse, un habitant de la localité.
‘’Les vols de motos et de bétail y sont fréquents’’, témoigne-t-il en ajoutant que ‘’la nuit est un perpétuel cauchemar pour certains’’.
Dans ce coin, aucun éclairage public n’est installé. De petites lampes dispersées éclairent quelques devantures de ces maisons entourées d’arbres.
‘’Nous avions un beau jardin peuplé d'oiseaux, transformé aujourd’hui en un dépotoir d’eaux usées puantes qui exposent les gens à toute forme de maladies’’, lâche notre guide.
‘’Des chiens affamés y trouvent refuge et attaquent nos enfants lorsqu’ils vont à l’école’’ ajoute-t-il en indiquant un grand terrain cerné de grillage. Des trous sont percés sur le fer ou des amas d’ordures y sont versés. C’est en a croire qu’aucun GIE Cetom n'opère dans ces lieux nauséabonds.
‘’Nous avons élu un maire que nous n’avons pas revu depuis qu’il a été ms à la tête de la Commune. Depuis, il n’a jamais mis les pieds ici’’, assure M. Niasse.
Laissé à lui-même, ‘’Aynou Rahmati’’ ou ‘’les yeux de la Miséricorde’’ se bat au quotidien, entre la vie et la mort avec l’espoir profond d’un lendemain meilleur.
Cheikh Saad Bou SEYE
Dans le quartier ‘’Aynou Rahmati’’ situé au terminus du populeux quartier de Pikine, les attaques sur des personnes innocentes sont récurrentes, sans compter les nombreux cas de vols et tentatives de viol.
‘’Le sable est trafiqué et vendu dans la ville au moyen de charrettes conduites parfois par des individus prêts à en découdre avec ceux qui veulent combattre leur commerce illicite’’, révèle M. Niasse, un habitant de la localité.
‘’Les vols de motos et de bétail y sont fréquents’’, témoigne-t-il en ajoutant que ‘’la nuit est un perpétuel cauchemar pour certains’’.
Dans ce coin, aucun éclairage public n’est installé. De petites lampes dispersées éclairent quelques devantures de ces maisons entourées d’arbres.
‘’Nous avions un beau jardin peuplé d'oiseaux, transformé aujourd’hui en un dépotoir d’eaux usées puantes qui exposent les gens à toute forme de maladies’’, lâche notre guide.
‘’Des chiens affamés y trouvent refuge et attaquent nos enfants lorsqu’ils vont à l’école’’ ajoute-t-il en indiquant un grand terrain cerné de grillage. Des trous sont percés sur le fer ou des amas d’ordures y sont versés. C’est en a croire qu’aucun GIE Cetom n'opère dans ces lieux nauséabonds.
‘’Nous avons élu un maire que nous n’avons pas revu depuis qu’il a été ms à la tête de la Commune. Depuis, il n’a jamais mis les pieds ici’’, assure M. Niasse.
Laissé à lui-même, ‘’Aynou Rahmati’’ ou ‘’les yeux de la Miséricorde’’ se bat au quotidien, entre la vie et la mort avec l’espoir profond d’un lendemain meilleur.
Cheikh Saad Bou SEYE