Le drame d'un nouveau-né enterré vivant pas sa maman a défrayé la chronique dans le populeux quartier de Pikine à Saint-Louis. À l'origine de cet infanticide, la dame Soda Fall qui a été appréhendée par la police et déférée jeudi dernier au parquet de Saint-Louis.
Elle a été interpellée par les limiers du Commissariat central de Saint-Louis. Tout est parti d'une dénonciation faite par un proche de la dame, qui a exprimé aux limiers son incompréhension de voir soudainement Soda Fall sans sa grossesse et sans nouveau-né entre les bras. Cette explication en main, le tout nouveau patron de la police de Saint-Louis, le commissaire Ibrahima Diop, a dépêché ses éléments au quartier de Pikine, lieu de résidence de la mise en cause. Celle-ci interpellée pour les nécessités d'enquête a fini par passer à table, en confessant les craintes du dénonciateur. En effet, Soda Fall, qui est déjà mère d'un premier enfant naturel de 3 ans, a révélé avoir accouché la veille, derrière son domicile. Ainsi, après avoir mis au monde son nouveau-né de sexe masculin, elle soutient l'avoir enterré bien que conscient qu'il était vivant et viable. Les médecins ont confirmé que le nouveau-né est bien né vivant et viable. Ainsi, interpellée sur le mobile de son acte, Soda Fall, qui a précisé que l'auteur de son premier enfant est le père du défunt nouveau-né, a souligné que celui-ci a refusé de reconnaître la paternité de cette grossesse. Ainsi, se disant qu'elle n'est pas en mesure d'en assurer la charge, elle a, indique-t-elle, tenté dans un premier temps d'avorter, en vain, c'est alors qu'elle a préféré attendre d'accoucher pour agir. Après ces aveux, elle a été placée en garde-à-vue, avant d'être déférée le 3 mars dernier au parquet de Saint-Louis, pour le crime d'infanticide.
Elle a été interpellée par les limiers du Commissariat central de Saint-Louis. Tout est parti d'une dénonciation faite par un proche de la dame, qui a exprimé aux limiers son incompréhension de voir soudainement Soda Fall sans sa grossesse et sans nouveau-né entre les bras. Cette explication en main, le tout nouveau patron de la police de Saint-Louis, le commissaire Ibrahima Diop, a dépêché ses éléments au quartier de Pikine, lieu de résidence de la mise en cause. Celle-ci interpellée pour les nécessités d'enquête a fini par passer à table, en confessant les craintes du dénonciateur. En effet, Soda Fall, qui est déjà mère d'un premier enfant naturel de 3 ans, a révélé avoir accouché la veille, derrière son domicile. Ainsi, après avoir mis au monde son nouveau-né de sexe masculin, elle soutient l'avoir enterré bien que conscient qu'il était vivant et viable. Les médecins ont confirmé que le nouveau-né est bien né vivant et viable. Ainsi, interpellée sur le mobile de son acte, Soda Fall, qui a précisé que l'auteur de son premier enfant est le père du défunt nouveau-né, a souligné que celui-ci a refusé de reconnaître la paternité de cette grossesse. Ainsi, se disant qu'elle n'est pas en mesure d'en assurer la charge, elle a, indique-t-elle, tenté dans un premier temps d'avorter, en vain, c'est alors qu'elle a préféré attendre d'accoucher pour agir. Après ces aveux, elle a été placée en garde-à-vue, avant d'être déférée le 3 mars dernier au parquet de Saint-Louis, pour le crime d'infanticide.