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De vibrants hommages ont été rendus, dimanche, à El Hadji Mohsine Diop, directeur de la Daara qui porte son nom au quartier SIndoné. Zeynou Habidine Diop a magnifié l’engagement permanent et le dévouement fervent de ce maitre coranique qui, depuis son enfance, s’est inscrit dans la tradition de sa famille très ancrée dans l’apprentissage et l’enseignement du Saint- Coran.
« Tu es la prière bénie de tes parents. Ils sont fiers de toi et te contemplent en joie là où ils sont », a dit le directeur de la « Oumoul Madariss » (mère des écoles), fondée par Thierno Malick Kane. Ce sage du Fouta s’est été installé à Saint-Louis sous la demande des habitants de Santhiaba qui, séduites par sa bonne maitrise coranique de cet érudit l’invita à s’installer. Il aura comme disciple Serigne Mohsine Malick Diop et ce dernier mettra sa lignée dans la quête et l’élucidation de la Parole divine.
« Aladji Mohsine» comme le surnomme ses disciples, a vu passer devant lui et entre ses mains plusieurs générations à qui il a transmis en toute pédagogie les rudiments nécessaires à la bonne maitrise du Coran. Aujourd’hui, la daara initiée par ses aïeuls, a formé plusieurs milliers de personnes éparpillées dans le monde. Cette journée est d’ailleurs l’initiative de ces derniers qui ont décidé de lui rendre un vibrant hommage pour son sacrifice, son humanisme et son dévouement sans failles.
L’imam Mouhammedou Abdallah Cissé a évoqué devant une forte assistance les souvenirs profonds de ses premiers instants dans la Daara en sortant de ces précieuses archives, un cahier dans lequel l’on retrouve ses premières leçons de jurisprudence islamique écrites par El Hadji Mohsine Diop. « J’ai gardé 40 ans durant ce trésor que j’expose aujourd’hui pour te rendre hommage», a dit l’Imam de la Mosquée Ihsane de Sindoné.
La splendeur du Coran a été ainsi exhibée pour restituer un pan important de l’histoire de Saint-Louis. Des viatiques forts ont été offerts à la jeunesse sur laquelle repose désormais la préservation de ce patrimoine immatériel de la ville.
Voici un extrai du témoignage de l'imam Mouhammedou Abdallah Cissé
« Tu es la prière bénie de tes parents. Ils sont fiers de toi et te contemplent en joie là où ils sont », a dit le directeur de la « Oumoul Madariss » (mère des écoles), fondée par Thierno Malick Kane. Ce sage du Fouta s’est été installé à Saint-Louis sous la demande des habitants de Santhiaba qui, séduites par sa bonne maitrise coranique de cet érudit l’invita à s’installer. Il aura comme disciple Serigne Mohsine Malick Diop et ce dernier mettra sa lignée dans la quête et l’élucidation de la Parole divine.
« Aladji Mohsine» comme le surnomme ses disciples, a vu passer devant lui et entre ses mains plusieurs générations à qui il a transmis en toute pédagogie les rudiments nécessaires à la bonne maitrise du Coran. Aujourd’hui, la daara initiée par ses aïeuls, a formé plusieurs milliers de personnes éparpillées dans le monde. Cette journée est d’ailleurs l’initiative de ces derniers qui ont décidé de lui rendre un vibrant hommage pour son sacrifice, son humanisme et son dévouement sans failles.
L’imam Mouhammedou Abdallah Cissé a évoqué devant une forte assistance les souvenirs profonds de ses premiers instants dans la Daara en sortant de ces précieuses archives, un cahier dans lequel l’on retrouve ses premières leçons de jurisprudence islamique écrites par El Hadji Mohsine Diop. « J’ai gardé 40 ans durant ce trésor que j’expose aujourd’hui pour te rendre hommage», a dit l’Imam de la Mosquée Ihsane de Sindoné.
La splendeur du Coran a été ainsi exhibée pour restituer un pan important de l’histoire de Saint-Louis. Des viatiques forts ont été offerts à la jeunesse sur laquelle repose désormais la préservation de ce patrimoine immatériel de la ville.
Voici un extrai du témoignage de l'imam Mouhammedou Abdallah Cissé
