Le ministre de l’hydraulique et de l’Assainissement Cheikh Tidjane DIÈYE a reporté dimanche sa visite sur le Lac de Guiers, après avoir reçu des informations faisant état de dommages à Kaolack suite à la forte pluie qui s’est abattue sur une importante partie du territoire. Au final, c’est une brève excursion que le ministre fera sur le barrage de DIAMA, avant de mettre la capitale du Salam.
Faisant sur le point sur les objectifs de cette mission, Diarra SOW, la directrice de l’Office des Lacs et Cours d’Eau du Sénégal (OLAC), a souligné l’importance d’optimiser la gestion de la réserve d’eau de Bango qui alimente la ville de Saint-Louis en eau potable.
Évoquant « l'eutrophisation, la prolifération des plantes aquatiques et les problèmes de gestion » en cours, la DG de l’OLAC sollicite un appui financier et logistique de la part du Gouvernement pour renforcer la gestion de cette ligne de démarcation entre les eaux du Djeuss et du Mboumbène.
Elle a entre outre plaidé pour l’extension du canal du Gandiolais, une veille doléance des populations de cette localité. Ce projet devrait permettre d’encourager la pratique du maraîchage. « Il n’y a pas d’eau dans le canal à cause des aménagements. C’est une situation qui nous avions voulu exposer au ministre pour que des solutions soient prises », a-t-elle ajouté.
Faisant sur le point sur les objectifs de cette mission, Diarra SOW, la directrice de l’Office des Lacs et Cours d’Eau du Sénégal (OLAC), a souligné l’importance d’optimiser la gestion de la réserve d’eau de Bango qui alimente la ville de Saint-Louis en eau potable.
Évoquant « l'eutrophisation, la prolifération des plantes aquatiques et les problèmes de gestion » en cours, la DG de l’OLAC sollicite un appui financier et logistique de la part du Gouvernement pour renforcer la gestion de cette ligne de démarcation entre les eaux du Djeuss et du Mboumbène.
Elle a entre outre plaidé pour l’extension du canal du Gandiolais, une veille doléance des populations de cette localité. Ce projet devrait permettre d’encourager la pratique du maraîchage. « Il n’y a pas d’eau dans le canal à cause des aménagements. C’est une situation qui nous avions voulu exposer au ministre pour que des solutions soient prises », a-t-elle ajouté.