L'objectif de cette formation, selon Mme Woré Gana Seck, directrice nationale de Green/S, est de renforcer pendant trois jours les capacités des femmes et autres acteurs du développement, à mieux comprendre les mécanismes "Genre, plaidoyer et leadership" pour une meilleure contribution des femmes de la région Nord au développement économique, social et environnemental.
Au cours de cet atelier supervisé par la consultante Mme Oumoul Khaïry Niang et animé par Ibrahima Fall et Issa Thiaw, il s'agira, à en croire Mme Woré Gana Seck, de permettre aux femmes leaders de se rendre compte de leurs potentialités économiques et sociales, du rôle prépondérant qu'elles doivent nécessairement et impérativement jouer dans toutes les actions de développement de la nation, entreprises aussi bien par les hommes que les femmes, d'élaborer des plans d'action de plaidoyer pour l'amélioration des conditions de vie.
Cette vision novatrice de Green/S, a-t-elle précisé, vise la libération des femmes des pesanteurs socio culturelles pour leur permettre de contribuer efficacement à l'économie locale et nationale. L'action se justifie par la mise en place des unités de transformations agricoles qui permettent aux actrices ciblées d'évoluer dans le domaine de l'entrepreneuriat.
Au cours de l'élaboration de la proposition, il est ressorti plusieurs besoins de formation dont un des plus importants porte sur le genre, le plaidoyer et le leadership.
Cette stratégie entreprise par Green/S et Conemund, a souligné Mme Woré Seck, entre dans le cadre du respect des conventions internationales qui visent à donner une place importante aux femmes pour leur bonne participation au développement harmonieux de notre pays et du continent africain, sur tous les plans et à tous les niveaux.
Depuis des décennies, a-t-elle poursuivi, les femmes en zone urbaine et péri urbaine sont soumises à des pesanteurs sociales et culturelles qui, parfois, constituent un obstacle à leur épanouissement économique et social. Conscients de ce phénomène, les organisations de la société civile, les associations, les décideurs politiques etc, ont combiné leurs efforts pour la lutte contre ces injustices sociales et autres discriminations qui permettent à l'homme de ravaler la femme au simple statut de ménagère. Il est temps que les femmes jouissent de l'ensemble de leurs droits à contribuer, au même titre que les hommes, au développement économique, social, culturel, politique et environnemental de la nation.
Mbagnick Kharachi Diagne
Au cours de cet atelier supervisé par la consultante Mme Oumoul Khaïry Niang et animé par Ibrahima Fall et Issa Thiaw, il s'agira, à en croire Mme Woré Gana Seck, de permettre aux femmes leaders de se rendre compte de leurs potentialités économiques et sociales, du rôle prépondérant qu'elles doivent nécessairement et impérativement jouer dans toutes les actions de développement de la nation, entreprises aussi bien par les hommes que les femmes, d'élaborer des plans d'action de plaidoyer pour l'amélioration des conditions de vie.
Cette vision novatrice de Green/S, a-t-elle précisé, vise la libération des femmes des pesanteurs socio culturelles pour leur permettre de contribuer efficacement à l'économie locale et nationale. L'action se justifie par la mise en place des unités de transformations agricoles qui permettent aux actrices ciblées d'évoluer dans le domaine de l'entrepreneuriat.
Au cours de l'élaboration de la proposition, il est ressorti plusieurs besoins de formation dont un des plus importants porte sur le genre, le plaidoyer et le leadership.
Cette stratégie entreprise par Green/S et Conemund, a souligné Mme Woré Seck, entre dans le cadre du respect des conventions internationales qui visent à donner une place importante aux femmes pour leur bonne participation au développement harmonieux de notre pays et du continent africain, sur tous les plans et à tous les niveaux.
Depuis des décennies, a-t-elle poursuivi, les femmes en zone urbaine et péri urbaine sont soumises à des pesanteurs sociales et culturelles qui, parfois, constituent un obstacle à leur épanouissement économique et social. Conscients de ce phénomène, les organisations de la société civile, les associations, les décideurs politiques etc, ont combiné leurs efforts pour la lutte contre ces injustices sociales et autres discriminations qui permettent à l'homme de ravaler la femme au simple statut de ménagère. Il est temps que les femmes jouissent de l'ensemble de leurs droits à contribuer, au même titre que les hommes, au développement économique, social, culturel, politique et environnemental de la nation.
Mbagnick Kharachi Diagne