Depuis quand le Sicoval travaille-t-il avec le Sénégal ?
Les deux communautés rurales avec qui nous travaillons encerclent Saint-Louis, ville qui a un lien fort, lié à l'histoire de l'Aérospatiale, avec Toulouse et Midi-Pyrénées.
Quelle est la nature de votre coopération ?
Nous les aidons à se former, nous leur fournissons du matériel, de l'informatique. Nous accompagnons aussi les projets d'adduction d'eau, d'assainissement et de traitement des déchets. Par exemple, sur un village, nous avons assisté un collectif de femmes qui fait du reboisement et du maraîchage. Enfin, nous permettons à des associations de monter des projets. Ainsi, Électriciens sans frontières d'Ayguevives a électrifié des écoles et des cases de santé. D'autre part, les collèges de Baziège et Ayguesvives ont déjà été sur place.
Combien cela coûte-t-il au Sicoval ?
Le budget global de nos interventions, sur deux communautés sénégalaises et une Guinéenne, est de 300 000 € à 350 000€. Mais là-dessus nous obtenons 200 000,00 € de subventions. Donc cela nous coûte environ 100 000 €, hors frais de personnel. Pour nous ce n'est pas grand-chose, pour eux c'est énorme. Par exemple, à Labé, en Guinée, ils ont pu doubler leur budget pour l'adduction d'eau grâce au Sicoval.
Avez-vous du personnel dédié à cette action ?
Oui, nous avons un technicien sur place, Benjamin Dumas. Et on envoie aussi en Afrique des ingénieurs titulaires de Masters 2 et des jeunes qui souhaitent y effectuer leur service civique.
Combien de personnes recevez-vous cette semaine ?
Une seule communauté ruralesénégalaise sur les deux : le président, le vice-président, la directrice des services et notre technicien. C'est un échange de bons procédés. Je vais aussi sur place une fois par an pour voir l'avancement des projets.
Ndarinfo/WebNews
Les deux communautés rurales avec qui nous travaillons encerclent Saint-Louis, ville qui a un lien fort, lié à l'histoire de l'Aérospatiale, avec Toulouse et Midi-Pyrénées.
Quelle est la nature de votre coopération ?
Nous les aidons à se former, nous leur fournissons du matériel, de l'informatique. Nous accompagnons aussi les projets d'adduction d'eau, d'assainissement et de traitement des déchets. Par exemple, sur un village, nous avons assisté un collectif de femmes qui fait du reboisement et du maraîchage. Enfin, nous permettons à des associations de monter des projets. Ainsi, Électriciens sans frontières d'Ayguevives a électrifié des écoles et des cases de santé. D'autre part, les collèges de Baziège et Ayguesvives ont déjà été sur place.
Combien cela coûte-t-il au Sicoval ?
Le budget global de nos interventions, sur deux communautés sénégalaises et une Guinéenne, est de 300 000 € à 350 000€. Mais là-dessus nous obtenons 200 000,00 € de subventions. Donc cela nous coûte environ 100 000 €, hors frais de personnel. Pour nous ce n'est pas grand-chose, pour eux c'est énorme. Par exemple, à Labé, en Guinée, ils ont pu doubler leur budget pour l'adduction d'eau grâce au Sicoval.
Avez-vous du personnel dédié à cette action ?
Oui, nous avons un technicien sur place, Benjamin Dumas. Et on envoie aussi en Afrique des ingénieurs titulaires de Masters 2 et des jeunes qui souhaitent y effectuer leur service civique.
Combien de personnes recevez-vous cette semaine ?
Une seule communauté ruralesénégalaise sur les deux : le président, le vice-président, la directrice des services et notre technicien. C'est un échange de bons procédés. Je vais aussi sur place une fois par an pour voir l'avancement des projets.
Ndarinfo/WebNews