Le ministre de l’Ecologie et de la Protection de la Nature Ali Haidar a rappelé, samedi à Saint-Louis, les avantages pour les populations de s’adonner la culture de la mangrove, insistant sur volonté de l’encourager pour promouvoir l’emploi vert.
‘’Nous sommes très fiers du travail abattu par ces associations qui sont orientées dans la culture de la mangrove’’, a dit M. Haidar, en marge d'une visite effectuée au parc de Gueumbeul (Gandiol) par l’administrateur du Programme des nations-Unies pour le développement (PNUD), Helen Clark.
‘’Comme ici dans le Gandiol, cette culture de la mangrove se développe en Casamance et nous travaillons à l’étendre à des pays limitrophes comme la Gambie et la Guinée-Bissau’’, a déclaré M. Haidar, notant ‘’son impact dans la lutte contre le sous-emploi par les bénéfices qu’elle génère’’.
''La mangrove joue en plus un rôle important contre le réchauffement climatique'', a rappelé M. Haidar, selon qui, avec cette culture, ''les populations peuvent se retrouver avec des profits importants''.
L’administrateur du PNUD s’est réjoui de l’investissement des populations dans cette culture de la mangrove et a promis de les accompagner dans cette mission noble de reverdir des espaces déserts.
Depuis 2003, 12 groupements villageois travaillent avec ce projet de gestion intégrée des écosystèmes du Sénégal. Ils ont ainsi réussi à restaurer et valoriser la mangrove.
La production du sel connait d’année en année un regain d’intérêt pour les populations qui l’exploitent grâce à deux barrages réalisés dans le Gandiol.
Le programme de la visite de six jours de l'administrateur du PNUD arrivée vendredi à Dakar, avant de rallier Saint-Louis, se poursuit dans la capitale sénégalaise.
Les ministre Cheikh Bamba Dièye (Décentralisation et Collectivités locales) et Mariama Sarr (Femme et Entrepreneuriat féminin) ont pris part à cette visite.
APS
‘’Nous sommes très fiers du travail abattu par ces associations qui sont orientées dans la culture de la mangrove’’, a dit M. Haidar, en marge d'une visite effectuée au parc de Gueumbeul (Gandiol) par l’administrateur du Programme des nations-Unies pour le développement (PNUD), Helen Clark.
‘’Comme ici dans le Gandiol, cette culture de la mangrove se développe en Casamance et nous travaillons à l’étendre à des pays limitrophes comme la Gambie et la Guinée-Bissau’’, a déclaré M. Haidar, notant ‘’son impact dans la lutte contre le sous-emploi par les bénéfices qu’elle génère’’.
''La mangrove joue en plus un rôle important contre le réchauffement climatique'', a rappelé M. Haidar, selon qui, avec cette culture, ''les populations peuvent se retrouver avec des profits importants''.
L’administrateur du PNUD s’est réjoui de l’investissement des populations dans cette culture de la mangrove et a promis de les accompagner dans cette mission noble de reverdir des espaces déserts.
Depuis 2003, 12 groupements villageois travaillent avec ce projet de gestion intégrée des écosystèmes du Sénégal. Ils ont ainsi réussi à restaurer et valoriser la mangrove.
La production du sel connait d’année en année un regain d’intérêt pour les populations qui l’exploitent grâce à deux barrages réalisés dans le Gandiol.
Le programme de la visite de six jours de l'administrateur du PNUD arrivée vendredi à Dakar, avant de rallier Saint-Louis, se poursuit dans la capitale sénégalaise.
Les ministre Cheikh Bamba Dièye (Décentralisation et Collectivités locales) et Mariama Sarr (Femme et Entrepreneuriat féminin) ont pris part à cette visite.
APS