La déléguée générale à l’entrepreneuriat rapide des femmes et des jeunes (DER/FJ), Aïda Mbodj, a fait part mardi de son ambition de territorialiser les actions de la structure qu’elle dirige, tout en redynamisant ses antennes.
“Nous sommes venus ici dans le cadre d’une innovation. La DER/FJ, c’est de l’innovation. J’ai soutenu une thèse de doctorat en gouvernance territorialisée. C’est dans cette logique que je veux territorialiser les actions de la DER/FJ”, a-t-elle déclaré.
Mme Mbodj intervenait lors d’un comité régional de développement (CRD) à Saint-Louis, dans le cadre de “la caravane de l’entrepreneuriat”, consistant à aller à la rencontre des acteurs ciblés par les actions de la DER, notamment les femmes et les jeunes, pour échanger avec eux sur sa nouvelle orientation.
“Nous comptons redynamiser les antennes, mais aussi en créer d’autres”, a annoncé la déléguée générale à l’entrepreneuriat rapide des femmes et des jeunes.
La vocation de la DER, c’est le financement, mais elle a aussi “d’autres missions. Nous soutenons les pouvoirs publics sur d’autres actions”, a indiqué Aïda Mbodj.
La DER/FJ, poursuit-elle, “doit être une arme pour éradiquer la pauvreté, elle a une vocation transversale”, avec une modernisation de plus en plus de son fonctionnement interne.*
Le gouverneur de la région de Saint-Louis, Al Hassan Sall, présidait ce CRD au cours duquel il a invité la DER/FJ à insister sur le financement des jeunes pour lutter contre la vague de départs des jeunes tentés par l’émigration irrégulière.
Le président du conseil régional de la jeunesse de Saint-Louis, Fara Ndiaye, a pour sa part invité la DER/FJ à adopter une démarche multisectorielle.
Au cours de cette réunion, des réalisations de la DER/FJ dans la région de Saint-Louis ont été présentées, notamment dans des secteurs tels que la pêche et l’agriculture.
Des femmes relais communautaires, des chefs de services régionaux, entre autres, acteurs ont pris part à cette activité.
L’impulsion et la promotion de l’entrepreneuriat rapide des femmes et des jeunes est la mission générale de la DER/FJ, selon une note de présentation.
APS
“Nous sommes venus ici dans le cadre d’une innovation. La DER/FJ, c’est de l’innovation. J’ai soutenu une thèse de doctorat en gouvernance territorialisée. C’est dans cette logique que je veux territorialiser les actions de la DER/FJ”, a-t-elle déclaré.
Mme Mbodj intervenait lors d’un comité régional de développement (CRD) à Saint-Louis, dans le cadre de “la caravane de l’entrepreneuriat”, consistant à aller à la rencontre des acteurs ciblés par les actions de la DER, notamment les femmes et les jeunes, pour échanger avec eux sur sa nouvelle orientation.
“Nous comptons redynamiser les antennes, mais aussi en créer d’autres”, a annoncé la déléguée générale à l’entrepreneuriat rapide des femmes et des jeunes.
La vocation de la DER, c’est le financement, mais elle a aussi “d’autres missions. Nous soutenons les pouvoirs publics sur d’autres actions”, a indiqué Aïda Mbodj.
La DER/FJ, poursuit-elle, “doit être une arme pour éradiquer la pauvreté, elle a une vocation transversale”, avec une modernisation de plus en plus de son fonctionnement interne.*
Le gouverneur de la région de Saint-Louis, Al Hassan Sall, présidait ce CRD au cours duquel il a invité la DER/FJ à insister sur le financement des jeunes pour lutter contre la vague de départs des jeunes tentés par l’émigration irrégulière.
Le président du conseil régional de la jeunesse de Saint-Louis, Fara Ndiaye, a pour sa part invité la DER/FJ à adopter une démarche multisectorielle.
Au cours de cette réunion, des réalisations de la DER/FJ dans la région de Saint-Louis ont été présentées, notamment dans des secteurs tels que la pêche et l’agriculture.
Des femmes relais communautaires, des chefs de services régionaux, entre autres, acteurs ont pris part à cette activité.
L’impulsion et la promotion de l’entrepreneuriat rapide des femmes et des jeunes est la mission générale de la DER/FJ, selon une note de présentation.
APS