Les sermons des imams à l'occasion de la fête marquant la fin du ramadan, à nouveau célébrée dans la division, ainsi que les entorses à la bonne gouvernance relevées par l'Inspection générale d'Etat (IGE) dans son dernier rapport, sont les principaux sujets traités par les quotidiens reçus mercredi à l'APS.
"Célébration de l'Aïd el fitr, les imams prient pour la paix et un bon hivernage", titre Le Soleil, se faisant l'écho des sermons des imams dans les principales localités du pays.
Le dialogue, la concertation pour l'unité et le soutien au peuple palestinien actuellement sous les bombes israéliennes étaient au cœur des préoccupations des religieux, selon le journal.
"Je continuerai, avec la même détermination, l'œuvre de construction nationale", a notamment déclaré le chef de l'Etat Macky Sall, mardi peu après avoir participé à la prière à la Grande mosquée de Dakar.
Mais concernant "les divergences dans la célébration des fêtes musulmanes", Le Populaire note que Macky Sall "renvoie la patate chaude aux religieux".
"L'Etat, écrit Le Pop, ne pouvant pas légiférer pour mettre un terme à la célébration des fêtes musulmanes dans la division au Sénégal, le président Macky Sall estime qu'il appartient aux chefs religieux de trouver la solution au problème".
A ce propos, Walfadjri titre : "L'Etat avoue son impuissance". Le journal écrit : "Interpellé sur le manque de consensus sur la date de la fin du ramadan, le président de la République renvoie la balle dans le camp des religieux. Ces derniers, dit-il, doivent davantage se concerter pour arriver à une solution".
Sur le même sujet, L'Observateur relève que la situation pluviométrique et la Palestine "s'invitent dans les sermons". Mais ce que le journal met davantage en exergue dans sa livraison du jour, c'est le dernier rapport de l'Inspection générale d’Etat (IGE), à travers ce titre : "Les derniers cafards du +clan Wade+".
"Les révélations sont fracassantes, les découvertes ahurissantes. Le dernier rapport public sur l'état de la gouvernance et la reddition des comptes remis vendredi au chef de l'Etat, Macky Sall, par le Vérificateur général du Sénégal, François Collin, est un recueil de scandales, d'abus, d'écarts, et d'excès dans la gestion des derniers publics", écrit le journal.
Selon le quotidien, "les investigations menées par les inspecteurs généraux d'Etat (IGE) laissent apparaître d'autres facettes des libéralités commises par les dirigeants du régime de Me Wade".
Parmi ces cas d'entorse à la bonne gouvernance, L'Observateur relève le Monument de la renaissance africaine où il y a eu "un massacre financier monumental", le FESMAN 3 où c'était "le festival des libéralités et des excès", l'ANOCI qui passe pour être "le sommet des scandales", etc.
Le Populaire évoque aussi les "détails des scandales à milliards de Wade". Cela donne le tableau suivant : "Festival mondial des +pratiques inédites malsaines : 80 milliards dans le vent ; Maison du Sénégal à New-York : mic-mac en millions de dollars ; Statut de la Renaissance : monumentale ingéniérie financiario-financière pour pomper 30 milliards à l'Etat", etc.
"Célébration de l'Aïd el fitr, les imams prient pour la paix et un bon hivernage", titre Le Soleil, se faisant l'écho des sermons des imams dans les principales localités du pays.
Le dialogue, la concertation pour l'unité et le soutien au peuple palestinien actuellement sous les bombes israéliennes étaient au cœur des préoccupations des religieux, selon le journal.
"Je continuerai, avec la même détermination, l'œuvre de construction nationale", a notamment déclaré le chef de l'Etat Macky Sall, mardi peu après avoir participé à la prière à la Grande mosquée de Dakar.
Mais concernant "les divergences dans la célébration des fêtes musulmanes", Le Populaire note que Macky Sall "renvoie la patate chaude aux religieux".
"L'Etat, écrit Le Pop, ne pouvant pas légiférer pour mettre un terme à la célébration des fêtes musulmanes dans la division au Sénégal, le président Macky Sall estime qu'il appartient aux chefs religieux de trouver la solution au problème".
A ce propos, Walfadjri titre : "L'Etat avoue son impuissance". Le journal écrit : "Interpellé sur le manque de consensus sur la date de la fin du ramadan, le président de la République renvoie la balle dans le camp des religieux. Ces derniers, dit-il, doivent davantage se concerter pour arriver à une solution".
Sur le même sujet, L'Observateur relève que la situation pluviométrique et la Palestine "s'invitent dans les sermons". Mais ce que le journal met davantage en exergue dans sa livraison du jour, c'est le dernier rapport de l'Inspection générale d’Etat (IGE), à travers ce titre : "Les derniers cafards du +clan Wade+".
"Les révélations sont fracassantes, les découvertes ahurissantes. Le dernier rapport public sur l'état de la gouvernance et la reddition des comptes remis vendredi au chef de l'Etat, Macky Sall, par le Vérificateur général du Sénégal, François Collin, est un recueil de scandales, d'abus, d'écarts, et d'excès dans la gestion des derniers publics", écrit le journal.
Selon le quotidien, "les investigations menées par les inspecteurs généraux d'Etat (IGE) laissent apparaître d'autres facettes des libéralités commises par les dirigeants du régime de Me Wade".
Parmi ces cas d'entorse à la bonne gouvernance, L'Observateur relève le Monument de la renaissance africaine où il y a eu "un massacre financier monumental", le FESMAN 3 où c'était "le festival des libéralités et des excès", l'ANOCI qui passe pour être "le sommet des scandales", etc.
Le Populaire évoque aussi les "détails des scandales à milliards de Wade". Cela donne le tableau suivant : "Festival mondial des +pratiques inédites malsaines : 80 milliards dans le vent ; Maison du Sénégal à New-York : mic-mac en millions de dollars ; Statut de la Renaissance : monumentale ingéniérie financiario-financière pour pomper 30 milliards à l'Etat", etc.