Les passagers de la compagnie aérienne Air France, plus qu’irrités, en veulent au chef de l’Etat. En effet, leur vol devait atterrir à l’Aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar aux environs de 20 heures, hier vendredi.
Cependant, presqu’au même moment, l’avion présidentiel devait également atterrir. Mais pour permettre à Macky Sall d’atterrir avec sa suite sans encombre, l’avion d’Air France a tout simplement préféré faire escale à Nouakchott (Mauritanie).
Pis, ce n’est qu’une fois en Mauritanie que le pilote, selon « L’Obs », a informé les passagers qui étaient très remontés. Ce ne sera que quelques minutes plus tard, que l’avion a décollé pour se poser à Dakar peu après 22 heures...
Voulant en savoir plus sur cette affaire, Dakaractu a enquêté et recueilli les informations que nous vous livrons : dans tous les aéropotrs du monde, il est retenu que lorsqu'un avion de VIP doit attérir, 30 minutes avant et 15 minutes après, aucun avion de ligne n'est autorisé à faire mouvement.
C'est une des raisons pour lesquelles, il est prévu en cas d'urgence, des aéroports de dégagement, et surtout une réseve de kérosène à bord des avions. De plus, l'avion d'Air France avait largement la latitude de continuer à survoler le ciel sénégalais, ce qui n'avait pas été son option
Dakaractu
Cependant, presqu’au même moment, l’avion présidentiel devait également atterrir. Mais pour permettre à Macky Sall d’atterrir avec sa suite sans encombre, l’avion d’Air France a tout simplement préféré faire escale à Nouakchott (Mauritanie).
Pis, ce n’est qu’une fois en Mauritanie que le pilote, selon « L’Obs », a informé les passagers qui étaient très remontés. Ce ne sera que quelques minutes plus tard, que l’avion a décollé pour se poser à Dakar peu après 22 heures...
Voulant en savoir plus sur cette affaire, Dakaractu a enquêté et recueilli les informations que nous vous livrons : dans tous les aéropotrs du monde, il est retenu que lorsqu'un avion de VIP doit attérir, 30 minutes avant et 15 minutes après, aucun avion de ligne n'est autorisé à faire mouvement.
C'est une des raisons pour lesquelles, il est prévu en cas d'urgence, des aéroports de dégagement, et surtout une réseve de kérosène à bord des avions. De plus, l'avion d'Air France avait largement la latitude de continuer à survoler le ciel sénégalais, ce qui n'avait pas été son option
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