De nombreux jeunes de la région Nord et autres cocitoyens originaires des autres localités de notre pays, se sont rencontrés samedi dans la capitale du Nord, pour mettre sur pied le comité régional du Réseau National des Jeunes pour la Paix en Casamance (Renapec).
En présence du chef du service régional de la jeunesse, Alassane Diallo et des représentants de la municipalité de saint-Louis, du Congad, du Forum Civil, le coordonnateur régional de ce nouveau comité, Adama Coundoul, a invité tous les sénégalais à se retrousser les manches et se ceindre les reins en vue d'oeuvre pour une paix durable en Casamance.
Le président du Renapec, François Mendy, journaliste au Soleil, s'est réjoui de la mise en place de cette antenne régionale et de l'étroite collaboration entre le Renapec, le programme gouvernance et paix de l'Usaid, la Fondation Konrad Adenauer, le journal "Le Quotidien" et la SSPP "Le Soleil" et autres partenaires.
Dans une motion validée par l'assistance, lue par M.Mendy, les membres de ce réseau ont noté leur inquiétude de voir encore des jeunes filles, garçons et autres populations des régions de la Casamance, sauter sur des mines anti-personnelles et antichars.
Par la voix du jeune François Mendy, ils ont invité solennellement les membres du mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc), à revoir leur position sur le déminage dans la partie méridionale du pays, pour permettre aux populations d'accéder à leurs terres.
Nous n'épousons pas, a-t-il précisé, "l'idée selon laquelle, c'est en temps de paix qu'on prépare la guerre". Aucune arme ne doit plus toner en Casamance. Les parties en conflit ne doivent pas cultiver un esprit de préparation à la conflagration. Il faut surtout cultiver un esprit de confiance entre l'Etat et le Mfdc.
Car, a-t-il poursuivi, le décollage socio économique de la Casamance doit passer par une terre saine, propice à l'agriculture et à l'exploitation des richesses fruitières de cette région.
Mbagnick Kharachi Diagne
En présence du chef du service régional de la jeunesse, Alassane Diallo et des représentants de la municipalité de saint-Louis, du Congad, du Forum Civil, le coordonnateur régional de ce nouveau comité, Adama Coundoul, a invité tous les sénégalais à se retrousser les manches et se ceindre les reins en vue d'oeuvre pour une paix durable en Casamance.
Le président du Renapec, François Mendy, journaliste au Soleil, s'est réjoui de la mise en place de cette antenne régionale et de l'étroite collaboration entre le Renapec, le programme gouvernance et paix de l'Usaid, la Fondation Konrad Adenauer, le journal "Le Quotidien" et la SSPP "Le Soleil" et autres partenaires.
Dans une motion validée par l'assistance, lue par M.Mendy, les membres de ce réseau ont noté leur inquiétude de voir encore des jeunes filles, garçons et autres populations des régions de la Casamance, sauter sur des mines anti-personnelles et antichars.
Par la voix du jeune François Mendy, ils ont invité solennellement les membres du mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc), à revoir leur position sur le déminage dans la partie méridionale du pays, pour permettre aux populations d'accéder à leurs terres.
Nous n'épousons pas, a-t-il précisé, "l'idée selon laquelle, c'est en temps de paix qu'on prépare la guerre". Aucune arme ne doit plus toner en Casamance. Les parties en conflit ne doivent pas cultiver un esprit de préparation à la conflagration. Il faut surtout cultiver un esprit de confiance entre l'Etat et le Mfdc.
Car, a-t-il poursuivi, le décollage socio économique de la Casamance doit passer par une terre saine, propice à l'agriculture et à l'exploitation des richesses fruitières de cette région.
Mbagnick Kharachi Diagne