A l'annonce hier de la requête par l'État du Sénégal devant le conseil régional pour l'épargne publique et le marché financier (Crepmf) pour s'opposer à l'emprunt obligataire de 20 milliards de la ville de Dakar, ce fut le branle-bas de combat chez les partenaires. Garante de cette opération à hauteur de 50 %, l'Usaid a initié une rencontre entre le ministère des Finances et la Mairie de Dakar à laquelle ont pris par la Fmi et la Banque mondiale.
En effet, l'Usaid a été particulièrement peiné par cette procédure de l'Etat du Sénégal, raison pour laquelle, elle a cherché à jouer les bons offices. Cet emprunt obligataire de 2O milliards de Fcfa a ainsi entrainé ce qui ressemble à un bras de fer entre l'État et la mairie de Dakar.
Du côté de l'État on évoque l'entrée en vigeur de l'acte III de la décentralisation pour s'opposer à cet emprunt obligataire. Selon eux avec cette réforme, le budget que la ville de Dakar avait soumis aux investisseurs va baisser, car une partie n'est plus allouée à la maire, mais aux communes d'arrondissement.
Ibrahima Khalil
En effet, l'Usaid a été particulièrement peiné par cette procédure de l'Etat du Sénégal, raison pour laquelle, elle a cherché à jouer les bons offices. Cet emprunt obligataire de 2O milliards de Fcfa a ainsi entrainé ce qui ressemble à un bras de fer entre l'État et la mairie de Dakar.
Du côté de l'État on évoque l'entrée en vigeur de l'acte III de la décentralisation pour s'opposer à cet emprunt obligataire. Selon eux avec cette réforme, le budget que la ville de Dakar avait soumis aux investisseurs va baisser, car une partie n'est plus allouée à la maire, mais aux communes d'arrondissement.
Ibrahima Khalil