Ce programme financé par la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et la Coopération espagnole, vise à renfoncer le capital productif des éleveurs.
L’appui fortement magnifié par les bénéficiaires s’inscrit dans le sillage des approches développées par la CEDEAO à travers l’ECOWAP (PRIASAN) notamment sur le plan de la promotion de la première ligne de défense en cas de crise, le renforcement de la résilience des ménages vulnérables d’éleveurs et agro-éleveurs et l’adaptation aux changements climatiques, l’amélioration de la commercialisation des produits et la promotion des chaines de valeur ainsi que l’intégration des enjeux nutritionnels dans les « programmes agricoles ».
Il faut noter que la promotion de filets sociaux de sécurité constitue un investissement important en termes de transferts de ressources publiques vers les populations vulnérables. « Elle n’a de sens que si elle s’inscrit dans une approche qui en garantit la durabilité des impacts. Cela permet de capitaliser les actions de façon à disposer de références pour orienter, d’une part, les politiques nationales et régionales d’appui à la transformation de l’élevage, et d’autre part, les programmes de protection sociale. Le projet de l’APESS s’inscrit dans ces deux perspectives complémentaires », signale le docteur Mamadou BA, coordonnateur régional de l’APESS. Cette initiative cible le Sénégal, la Gambie, la Guinée Bissau et le Nigéria.
M. BA rappelle que « les interventions nationales sont complétées par un travail de capitalisation régional pour tirer les enseignements de la démarche et jeter les bases de son extension ».
En marge des interventions locales, un outil diagnostique a été développé pour dresser un bilan simplifié des ressources que les éleveurs vulnérables tirent de leurs activités. Ceci en vue de les répertorier et de mieux les accompagner.
Le chef des services vétérinaires de DAGANA a salué la pertinence du projet en insistant sur les bénéfices que les éleveurs pourront en tirer. Il s’est réjoui de l’accès à l’aliment de bétail qu’encourage la remise d’intrants. « Cela entre en droite ligne avec le politique de l’Etat qui est dans une dynamique de booster la production fourragère », a dit Moctar BARRO.
>>> Suivez les explications de M. BARRO et M. BA ...
L’appui fortement magnifié par les bénéficiaires s’inscrit dans le sillage des approches développées par la CEDEAO à travers l’ECOWAP (PRIASAN) notamment sur le plan de la promotion de la première ligne de défense en cas de crise, le renforcement de la résilience des ménages vulnérables d’éleveurs et agro-éleveurs et l’adaptation aux changements climatiques, l’amélioration de la commercialisation des produits et la promotion des chaines de valeur ainsi que l’intégration des enjeux nutritionnels dans les « programmes agricoles ».
Il faut noter que la promotion de filets sociaux de sécurité constitue un investissement important en termes de transferts de ressources publiques vers les populations vulnérables. « Elle n’a de sens que si elle s’inscrit dans une approche qui en garantit la durabilité des impacts. Cela permet de capitaliser les actions de façon à disposer de références pour orienter, d’une part, les politiques nationales et régionales d’appui à la transformation de l’élevage, et d’autre part, les programmes de protection sociale. Le projet de l’APESS s’inscrit dans ces deux perspectives complémentaires », signale le docteur Mamadou BA, coordonnateur régional de l’APESS. Cette initiative cible le Sénégal, la Gambie, la Guinée Bissau et le Nigéria.
M. BA rappelle que « les interventions nationales sont complétées par un travail de capitalisation régional pour tirer les enseignements de la démarche et jeter les bases de son extension ».
En marge des interventions locales, un outil diagnostique a été développé pour dresser un bilan simplifié des ressources que les éleveurs vulnérables tirent de leurs activités. Ceci en vue de les répertorier et de mieux les accompagner.
Le chef des services vétérinaires de DAGANA a salué la pertinence du projet en insistant sur les bénéfices que les éleveurs pourront en tirer. Il s’est réjoui de l’accès à l’aliment de bétail qu’encourage la remise d’intrants. « Cela entre en droite ligne avec le politique de l’Etat qui est dans une dynamique de booster la production fourragère », a dit Moctar BARRO.
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