Des chaussures, des habites, nattes et matelas ont été remis hier au Jardin d'Espoir Sénégal (JES) par des partenaires européens de ce centre en plus de la confection d'un site web présentant les actions de cette action. Madame Suzanne Posegga, une artiste autrichienne et son ami Hubert Baumgartner sont les maitres d'œuvre de ces actions sociales saluées par l'équipe de Mamadou Ndiaye, président de Jardin d'Espoir Sénégal.
« Je suis venu pour la première fois à Saint-Louis en 2011 et la situation des enfants talibés m'a beaucoup touchée. Les souffrances auxquelles ils sont confrontés m'ont poussé à porter ce plaidoyer en Europe. J'ai rencontré M. Ndiaye qui m'a fait part de son projet et j'ai décidé de les aider. Ainsi, j'ai confectionné des cartes postales et réalisé deux films documentaires pour parler de ce phénomène », explique Mme Posegga.
Chaque mercredi, des plats copieux sont préparés par le Jardin d'Espoir et remis à une daara de place. Une occasion donnée aux partenaires de ce centre de découvrir une des actions que mène le JES au profit des enfants déminus. Mathias, un stagiaire allemand venu soutenir cette dynamique participe, avec enthousiasme. Il a eu les attaches du centre grâce à l'ONG Amina, partenaire traditionnel du JES.
Mme Posegga s'est dit séduite par l'engagement des membres du JES. « Au-delà de l'alimentation qu'ils donnent aux nécessiteux, ils font de l'alphabétisation et assurent l'intégration professionnelle des talibés », s'est-elle félicitée an appelant l'Etat du Sénégal à soutenir les associations qui œuvrent dans la lutte contre la mendicité des enfants.
En effet, l'un des enfants accompagnés par le centre s'active dans la coiffure et un autre est tailleur. Le centre a repéré d'autres talents et promis de les placer dans des secteurs d'activités.
Ndarinfo.com
« Je suis venu pour la première fois à Saint-Louis en 2011 et la situation des enfants talibés m'a beaucoup touchée. Les souffrances auxquelles ils sont confrontés m'ont poussé à porter ce plaidoyer en Europe. J'ai rencontré M. Ndiaye qui m'a fait part de son projet et j'ai décidé de les aider. Ainsi, j'ai confectionné des cartes postales et réalisé deux films documentaires pour parler de ce phénomène », explique Mme Posegga.
Chaque mercredi, des plats copieux sont préparés par le Jardin d'Espoir et remis à une daara de place. Une occasion donnée aux partenaires de ce centre de découvrir une des actions que mène le JES au profit des enfants déminus. Mathias, un stagiaire allemand venu soutenir cette dynamique participe, avec enthousiasme. Il a eu les attaches du centre grâce à l'ONG Amina, partenaire traditionnel du JES.
Mme Posegga s'est dit séduite par l'engagement des membres du JES. « Au-delà de l'alimentation qu'ils donnent aux nécessiteux, ils font de l'alphabétisation et assurent l'intégration professionnelle des talibés », s'est-elle félicitée an appelant l'Etat du Sénégal à soutenir les associations qui œuvrent dans la lutte contre la mendicité des enfants.
En effet, l'un des enfants accompagnés par le centre s'active dans la coiffure et un autre est tailleur. Le centre a repéré d'autres talents et promis de les placer dans des secteurs d'activités.
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