« J'ai été réinstallé dans mes fonctions de Gérant de l'Auberge de Jeunesse de Saint-Louis et de Trésorier du GIE And Liggey en vertu de l'arrêt N° 36 du 23 octobre 2012 de la Cour d'Appel de Saint-Louis. Cet arrêt stipule entre autres, que les décisions prises par l'assemblée Générale requièrent l'unanimité des membres pour leur validité. Par conséquent, je ne peux pas être exclu en aucune façon du GIE. L'exécution de cet arrêt a été matérialisée par une passation de service devant l'Huissier de Justice, Maître Nging, le 11 janvier 2013 à Saint-Louis », a révèle M. Diallo, dans une déclaration adressée à Ndarinfo.com, ce matin.
Il indique que les autres membres du GIE « font entrave à l'exercice de mes fonctions de Gérant en refusant de se plier à cette décision de justice ».
« Depuis le mois d'avril, l'accès de mon lieu de travail m'est interdit par les sieurs Moulaye Abdoul Aziz Seck et Harouna Sow, en usant de la force, malgré la décision du Président du Tribunal Régional de Saint-Louis, ordonnant la mainlevée du siège de l'auberge, ordonnance N° 75 du mois de mai 2013. Ce qui constitue des voies de faits évidentes. Auparavant, ils avaient introduit un pourvoi en cassation auprès de la Cour Suprême et malheureusement l'arrêt N° 64 du 7 août 2013, rendu par cette cour, ne leur est pas favorable. Ce qui signifie que l'arrêt N°36 de la Cour d'appel de Saint-Louis est toujours exécutoire. Par conséquent, je reste et je demeure l'unique gérant de l'Auberge de jeunesse l'Atlantide », a-t-il ajouté.
Ce membre fondateur de l'association ENTRE'VUES fustige « une usurpation de fonction » du gérant actuel qui selon lui, « n'est pas habilité à gérer la structure » et précise que « dans ses manœuvres, Il s'est évertué pendant des mois à me faire incarcérer, afin de s'accaparer des ressources de la structure (...) Je suis victime d'un véritable acharnement alors que le droit a été dit en ma faveur. Cela dit, je ne suis pas amer, je continue à faire confiance aux juges ».
« Aujourd'hui, les sieurs Seck et Sow ont essayé de tromper la religion des autorités en voulant muter l'autorisation d'exploitation de l'auberge, N° 108 58 /Ministère de l'intérieur datée du 02 décembre 1993 et établie en mon nom. C'est la raison principale de la fermeture de l'établissement » a-t-il laissé entendre en ajoutant que qu'ils « n'ont respecté aucune des décisions de justice et n'ont pas voulu non plus respecter l'arrêté de Monsieur le Préfet . Pour preuve, après l'infraction du 11 septembre, Il y en a eu une seconde le 27 décembre dernier. C'est du « maatay » caractérisé ».
Il appelle ses collègues à « savoir raison garder, être républicain, respecter les décisions judiciaires et administratives ».
Ndarinfo.com
Il indique que les autres membres du GIE « font entrave à l'exercice de mes fonctions de Gérant en refusant de se plier à cette décision de justice ».
« Depuis le mois d'avril, l'accès de mon lieu de travail m'est interdit par les sieurs Moulaye Abdoul Aziz Seck et Harouna Sow, en usant de la force, malgré la décision du Président du Tribunal Régional de Saint-Louis, ordonnant la mainlevée du siège de l'auberge, ordonnance N° 75 du mois de mai 2013. Ce qui constitue des voies de faits évidentes. Auparavant, ils avaient introduit un pourvoi en cassation auprès de la Cour Suprême et malheureusement l'arrêt N° 64 du 7 août 2013, rendu par cette cour, ne leur est pas favorable. Ce qui signifie que l'arrêt N°36 de la Cour d'appel de Saint-Louis est toujours exécutoire. Par conséquent, je reste et je demeure l'unique gérant de l'Auberge de jeunesse l'Atlantide », a-t-il ajouté.
Ce membre fondateur de l'association ENTRE'VUES fustige « une usurpation de fonction » du gérant actuel qui selon lui, « n'est pas habilité à gérer la structure » et précise que « dans ses manœuvres, Il s'est évertué pendant des mois à me faire incarcérer, afin de s'accaparer des ressources de la structure (...) Je suis victime d'un véritable acharnement alors que le droit a été dit en ma faveur. Cela dit, je ne suis pas amer, je continue à faire confiance aux juges ».
« Aujourd'hui, les sieurs Seck et Sow ont essayé de tromper la religion des autorités en voulant muter l'autorisation d'exploitation de l'auberge, N° 108 58 /Ministère de l'intérieur datée du 02 décembre 1993 et établie en mon nom. C'est la raison principale de la fermeture de l'établissement » a-t-il laissé entendre en ajoutant que qu'ils « n'ont respecté aucune des décisions de justice et n'ont pas voulu non plus respecter l'arrêté de Monsieur le Préfet . Pour preuve, après l'infraction du 11 septembre, Il y en a eu une seconde le 27 décembre dernier. C'est du « maatay » caractérisé ».
Il appelle ses collègues à « savoir raison garder, être républicain, respecter les décisions judiciaires et administratives ».
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