Le gouvernement du Sénégal est accusé de s’être procuré en Chine d’armes de torture comme des matraques électriques, des fers aux pieds… Selon le rapport d’Amnesty présenté mardi, «des matraques à impulsions électriques vraisemblablement fabriquées en Chine équipent des policiers au Ghana, au Sénégal, en Egypte et à Madagascar».
«Une entreprise nommée China xinxing import/export, révèle le rapport, a indiqué avoir des relations commerciales avec plus de 40 pays africains. Cette société vend notamment des poucettes (menottes à pouces) et des matraques électriques, ce dernier outil pouvant être utilisé pour appliquer des décharges extrêmement douloureuses sur des zones corporelles telles que les parties génitales, l’aine, la gorge ou les oreilles», note le rapport exploité par "Walfadjri".
Amnesty rappelle que «des équipements antiémeute chinois ont également été utilisés pour réprimer l’opposition en République démocratique du Congo (Rdc) lors des élections de 2011, qui ont donné lieu à des violences faisant au moins 33 morts et 83 blessés».
Seneweb
«Une entreprise nommée China xinxing import/export, révèle le rapport, a indiqué avoir des relations commerciales avec plus de 40 pays africains. Cette société vend notamment des poucettes (menottes à pouces) et des matraques électriques, ce dernier outil pouvant être utilisé pour appliquer des décharges extrêmement douloureuses sur des zones corporelles telles que les parties génitales, l’aine, la gorge ou les oreilles», note le rapport exploité par "Walfadjri".
Amnesty rappelle que «des équipements antiémeute chinois ont également été utilisés pour réprimer l’opposition en République démocratique du Congo (Rdc) lors des élections de 2011, qui ont donné lieu à des violences faisant au moins 33 morts et 83 blessés».
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