D’ailleurs, pas loin d’ici, Doune Baba Dièye donne son nom au triste souvenir des colères de la nature. L’enseignant se rappelle ces moments, posté devant l’établissement qui s’apprête à fêter la clôture de l’année scolaire. Dans une pièce, des femmes s’affairent à préparer les mets. Des élèves nettoient une classe avec de l’eau. A 11 heures, le liquide coule à la grande satisfaction du Directeur de l’établissement, Waly Mbodj. Situation inédite dans ce bled habitué aux puits et au rationnement.
Aujourd’hui, Ousseynou Diop, chef du village, rend grâce à Dieu et remercie la SONES qui, pour le compte du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement, vient de mettre en service le château d’eau de Leybar. Les effets positifs se font sentir. Le vieil homme est d’un enthousiasme débordant. La corvée d’eau est un mauvais souvenir pour les dames. Gérante de la borne fontaine, la dame Rokhaya ne cache pas sa fierté.
Elle répond aux questions de l’interviewer du jour, le Directeur Général de la SONES, Charles Fall. Celui-ci tient le tuyau, s’enquiert des conditions d’accès à la ressource et apporte des réponses au besoin. Il vient d’entrer dans une demeure, ouvert le robinet et constaté, de lui-même, la disponibilité de l’eau. Les branchements sociaux sont une réalité dans le village de Diele Mbam dans le Gandiol.
Aujourd’hui, Ousseynou Diop, chef du village, rend grâce à Dieu et remercie la SONES qui, pour le compte du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement, vient de mettre en service le château d’eau de Leybar. Les effets positifs se font sentir. Le vieil homme est d’un enthousiasme débordant. La corvée d’eau est un mauvais souvenir pour les dames. Gérante de la borne fontaine, la dame Rokhaya ne cache pas sa fierté.
Elle répond aux questions de l’interviewer du jour, le Directeur Général de la SONES, Charles Fall. Celui-ci tient le tuyau, s’enquiert des conditions d’accès à la ressource et apporte des réponses au besoin. Il vient d’entrer dans une demeure, ouvert le robinet et constaté, de lui-même, la disponibilité de l’eau. Les branchements sociaux sont une réalité dans le village de Diele Mbam dans le Gandiol.
A l’autre bout de la ville, sur la route de Ngallèle, Khar Yalla exprime sa satisfaction. Au bout de la principale rue sablonneuse, une borne fontaine alimente le village. Conseiller municipal, le nommé Jean vante les vertus du mode de gestion : les ressources générées servent à payer la facture et à venir en aide aux habitants confrontés à des problèmes sociaux. Une caisse de solidarité, en quelque sorte.
Aucun sou ne peut être décaissé sans l’onction de trois gestionnaires du compte. L’eau potable fait entrer les habitants de Khar Yalla dans une nouvelle ère. En témoigne l’histoire de cette dame qui, sous la corvée d’eau pendant la grossesse, s’est retrouvée avec des complications. L’ordonnance ? 35.000 FCFA ! Maintenant, l’enfant se porte bien. Sur le dos de sa maman, il pourra grandir sans connaître les tracas liés à l’absence d’eau potable. Les branchements sociaux sont, ici encore, du pain béni. Il n’y a pas longtemps, ces habitants achetaient l’eau proposée dans des jerricanes par les charretiers. Maintenant, Khar Yall a fournit de l’eau à d’autres localités.
L’Etat du Sénégal, à travers la SONES, a mis en œuvre ce projet qui fera passer la production de 15000 à 18600 m3/jour, soit une production additionnelle de 3600 m3/jour. Le mécanisme est le suivant : à partir du fleuve Sénégal, la station de pompage de Bango alimente la Station de Traitement de Khor qui, à son tour, refoule vers le nouveau château d’eau de Leybar.
Le volume additionnel couvrira les besoins et règlera le problème des quartiers comme Leybar, Khar Yalla, Pikine, Guet Ndar, etc. Le coût est de 4 milliards FCFA sur financement des Partenaires Techniques et Financiers : Agence Française de Développement (AFD), Union Européenne (UE) et Banque Européenne de l’Investissement (BEI).
Aucun sou ne peut être décaissé sans l’onction de trois gestionnaires du compte. L’eau potable fait entrer les habitants de Khar Yalla dans une nouvelle ère. En témoigne l’histoire de cette dame qui, sous la corvée d’eau pendant la grossesse, s’est retrouvée avec des complications. L’ordonnance ? 35.000 FCFA ! Maintenant, l’enfant se porte bien. Sur le dos de sa maman, il pourra grandir sans connaître les tracas liés à l’absence d’eau potable. Les branchements sociaux sont, ici encore, du pain béni. Il n’y a pas longtemps, ces habitants achetaient l’eau proposée dans des jerricanes par les charretiers. Maintenant, Khar Yall a fournit de l’eau à d’autres localités.
L’Etat du Sénégal, à travers la SONES, a mis en œuvre ce projet qui fera passer la production de 15000 à 18600 m3/jour, soit une production additionnelle de 3600 m3/jour. Le mécanisme est le suivant : à partir du fleuve Sénégal, la station de pompage de Bango alimente la Station de Traitement de Khor qui, à son tour, refoule vers le nouveau château d’eau de Leybar.
Le volume additionnel couvrira les besoins et règlera le problème des quartiers comme Leybar, Khar Yalla, Pikine, Guet Ndar, etc. Le coût est de 4 milliards FCFA sur financement des Partenaires Techniques et Financiers : Agence Française de Développement (AFD), Union Européenne (UE) et Banque Européenne de l’Investissement (BEI).