Cette initiative s’inscrit dans une dynamique « d’impliquer et d’engager, de manière responsable, les populations locales dans la préservation de leur environnement ».
Elle s’appuie sur les politiques d’emplois, d’assainissement, de santé communautaire et de réhabilitation portées par les populations et les pouvoirs locaux dans leur localité.
La forte production de charbon de bois pour la cuisson est l’une des principales causes de la dégradation continue des aires forestières, dont le déboisement annuel, qui est estimé à 80 000 hectares. Les forêts naturelles qui, en 1980, représentaient 8,1millions d’hectares n’en constituent plus que 7,5 millions d’hectares en 1990, soient une disparition de 7,4 % des ressources végétales en l’espace de 10 ans, a rappelé Abibatou FALL, la présidente d’Arades, en marge de la formation.
D’où la nécessité de « mettre en place de nouvelles dispositions, sachant qu’un tel phénomène va engendrer des contraintes dans le quotidien des Sénégalais, dans le secteur de l’économie, et surtout sur la régénérescence des ressources naturelles », a-t-elle dit.
Mme FALL estime que « l’implication des populations, surtout des femmes, est un avantage pour la politique de la gestion intégrée et participative des ressources ».
En marge de l’atelier, deux (2) cuisinières ont été offertes à chaque groupement bénéficiaire en vue d’une meilleure vulgarisation de ces outils.
>>> Les réactions des parties prenantes ...
Elle s’appuie sur les politiques d’emplois, d’assainissement, de santé communautaire et de réhabilitation portées par les populations et les pouvoirs locaux dans leur localité.
La forte production de charbon de bois pour la cuisson est l’une des principales causes de la dégradation continue des aires forestières, dont le déboisement annuel, qui est estimé à 80 000 hectares. Les forêts naturelles qui, en 1980, représentaient 8,1millions d’hectares n’en constituent plus que 7,5 millions d’hectares en 1990, soient une disparition de 7,4 % des ressources végétales en l’espace de 10 ans, a rappelé Abibatou FALL, la présidente d’Arades, en marge de la formation.
D’où la nécessité de « mettre en place de nouvelles dispositions, sachant qu’un tel phénomène va engendrer des contraintes dans le quotidien des Sénégalais, dans le secteur de l’économie, et surtout sur la régénérescence des ressources naturelles », a-t-elle dit.
Mme FALL estime que « l’implication des populations, surtout des femmes, est un avantage pour la politique de la gestion intégrée et participative des ressources ».
En marge de l’atelier, deux (2) cuisinières ont été offertes à chaque groupement bénéficiaire en vue d’une meilleure vulgarisation de ces outils.
>>> Les réactions des parties prenantes ...
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