Une cartographie des acteurs, des résultats et des besoins en recherche-innovation au Sénégal menée dans le cadre d’une étude intitulée “Cartographie des acteurs, des résultats et des besoins en recherche-innovation au Sénégal” a été présentée mercredi à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, en présence vice recteur Mamadou A. DIOP.
Cette rencontre a permis d'informer les acteurs sur l’état de la recherche, les opportunités et les besoins prioritaires des bénéficiaires (entreprises, collectivités locales, organisations de producteurs et société civile) en suscitant des interactions et le réseautage autour de la recherche. L'occasion a été saisie pour vulgariser la plateforme régionale VaRRIWA (Valorising Research Results and Innovation in West Africa), porteuse de cette dynamique, en vue de « créer un environnement propice au transfert de technologie et à l’innovation durable dans les pays d’Afrique de l’Ouest francophone” notamment dans les quatre pays membres.
VaRRIWA financé à hauteur de 3,2 milliards de FCFA par le Fonds ACP pour l’Innovation, une des composantes du Programme de recherche et d’innovation de l’Organisation des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (OEACP), en partenariat avec l’Union européenne (11e FED), est piloté au Sénégal par l’Agence nationale de la recherche scientifique appliquée (ANRSA), a rapellé son coordonnateur Moussa SIDIBÉ.
Ce projet sous-régional a permis l’agence sénégalaise de bénéficier d’une subvention globale de 566,9 millions de FCFA au cours des quatre dernières années, un financement qui a servi à former les chercheurs aux droits de propriété intellectuelle et de leur exploitation économique au Sénégal, une formation assurée par l’Université numérique Cheikh Hamidou Kane.
Une autre retombée a été l’installation d’une unité de fabrication de médicaments à base de plantes locales, à travers le Projet de valorisation des médicaments traditionnels améliorés pour le traitement de l’hypertension artérielle au Sénégal, mis en œuvre par l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Cette rencontre a permis d'informer les acteurs sur l’état de la recherche, les opportunités et les besoins prioritaires des bénéficiaires (entreprises, collectivités locales, organisations de producteurs et société civile) en suscitant des interactions et le réseautage autour de la recherche. L'occasion a été saisie pour vulgariser la plateforme régionale VaRRIWA (Valorising Research Results and Innovation in West Africa), porteuse de cette dynamique, en vue de « créer un environnement propice au transfert de technologie et à l’innovation durable dans les pays d’Afrique de l’Ouest francophone” notamment dans les quatre pays membres.
VaRRIWA financé à hauteur de 3,2 milliards de FCFA par le Fonds ACP pour l’Innovation, une des composantes du Programme de recherche et d’innovation de l’Organisation des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (OEACP), en partenariat avec l’Union européenne (11e FED), est piloté au Sénégal par l’Agence nationale de la recherche scientifique appliquée (ANRSA), a rapellé son coordonnateur Moussa SIDIBÉ.
Ce projet sous-régional a permis l’agence sénégalaise de bénéficier d’une subvention globale de 566,9 millions de FCFA au cours des quatre dernières années, un financement qui a servi à former les chercheurs aux droits de propriété intellectuelle et de leur exploitation économique au Sénégal, une formation assurée par l’Université numérique Cheikh Hamidou Kane.
Une autre retombée a été l’installation d’une unité de fabrication de médicaments à base de plantes locales, à travers le Projet de valorisation des médicaments traditionnels améliorés pour le traitement de l’hypertension artérielle au Sénégal, mis en œuvre par l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.