Le collectif FC 25, regroupant 16 des 19 candidats retenus par le Conseil constitutionnel pour la présidentielle, a exprimé son refus de participer à ce dialogue, jugé hors sujet. Leur principale revendication reste la fixation d’une date pour l’élection, accusant le président de pratiquer la dilatoire et de chercher à prolonger son mandat au-delà de sa fin constitutionnelle le 2 avril.
Face à l’impasse, le collectif FC 25 annonce son intention de saisir le Conseil constitutionnel, arguant d’un « intérêt légitime » en référence à un précédent jugement du Conseil. Celui-ci avait, le 15 février, reconnu la recevabilité d’une saisine concernant le report de l’élection présidentielle, soulignant l’intérêt des députés et des candidats à contester un décret annulant un précédent appel aux urnes.
Cette situation place le Conseil constitutionnel au centre d’une potentielle résolution de crise, devant choisir entre fixer une date pour les élections ou accorder un délai supplémentaire aux autorités, dans le but d’éviter une impasse politique majeure après le 2 avril.
Face à l’impasse, le collectif FC 25 annonce son intention de saisir le Conseil constitutionnel, arguant d’un « intérêt légitime » en référence à un précédent jugement du Conseil. Celui-ci avait, le 15 février, reconnu la recevabilité d’une saisine concernant le report de l’élection présidentielle, soulignant l’intérêt des députés et des candidats à contester un décret annulant un précédent appel aux urnes.
Cette situation place le Conseil constitutionnel au centre d’une potentielle résolution de crise, devant choisir entre fixer une date pour les élections ou accorder un délai supplémentaire aux autorités, dans le but d’éviter une impasse politique majeure après le 2 avril.