Aissata Tall Sall a été investie hier samedi par les militants de son mouvement «Osez l’avenir» comme candidate à l’élection présidentielle de 2019.
Occasion qu’elle a saisie d’annoncer que sa caution a été versée à la Caisse des dépôts et consignations (Cdc) et le dépôt des dossiers de sa candidature se fera mardi prochain au Conseil constitutionnel.
«Après avoir réuni les parrainages nécessaires, et procédé au paiement de notre caution, nous allons déposer mardi 11 décembre le dossier de ma candidature au conseil constitutionnel. Donc il n’y a aucun doute que notre candidature sera acceptée ou validée», a-t-elle dit.
La mairesse de Podor a présenté son programme, appelé «société du progrès». Celui-ci s’articule sur plusieurs points comme l’agriculture l’éducation et la santé. «Dans notre programme l’agriculture occupe une place fondamentale. Pour ce qui est de l’éducation, nous proposons aux enseignants une fois au pouvoir, un nouveau pacte autour de l’école. Et pour la santé qui est malade, nous allons remplacer la couverture maladie universelle (Cmu) par la couverture sanitaire universelle», a indiqué la parlementaire.
L’Assemblée nationale n’est pas en reste. Celle-ci, d’après elle, sera restaurée dans sa dignité et dans la plénitude.
DAKARMATIN
Occasion qu’elle a saisie d’annoncer que sa caution a été versée à la Caisse des dépôts et consignations (Cdc) et le dépôt des dossiers de sa candidature se fera mardi prochain au Conseil constitutionnel.
«Après avoir réuni les parrainages nécessaires, et procédé au paiement de notre caution, nous allons déposer mardi 11 décembre le dossier de ma candidature au conseil constitutionnel. Donc il n’y a aucun doute que notre candidature sera acceptée ou validée», a-t-elle dit.
La mairesse de Podor a présenté son programme, appelé «société du progrès». Celui-ci s’articule sur plusieurs points comme l’agriculture l’éducation et la santé. «Dans notre programme l’agriculture occupe une place fondamentale. Pour ce qui est de l’éducation, nous proposons aux enseignants une fois au pouvoir, un nouveau pacte autour de l’école. Et pour la santé qui est malade, nous allons remplacer la couverture maladie universelle (Cmu) par la couverture sanitaire universelle», a indiqué la parlementaire.
L’Assemblée nationale n’est pas en reste. Celle-ci, d’après elle, sera restaurée dans sa dignité et dans la plénitude.
DAKARMATIN