Selon l’ONG Caminando Fronteras, « au total, 2.390 personnes sont mortes dans les eaux de la Méditerranée et de l’Atlantique, dans leur tentative de rejoindre les côtes espagnoles en 2022 ».
Elle ajoute que la plupart d’entre eux l’ont fait sur la route des Canaries, celle qui part des côtes du Sénégal vers l’archipel espagnol où 1 784 immigrés sont morts. Parmi les défunts, il y a 101 enfants et 288 femmes qui n’ont pas pu rejoindre l’Europe.
L’ONG souligne également que la grande majorité des défunts ne sont jamais retrouvés.
« Les corps non localisés sont à 91,42%. « Ce qui a un impact terrible pour leurs familles et leurs communautés d’origine en raison de l’impossibilité de faire un deuil complet et des implications juridiques et psychologiques », note le rapport. Malgré ce décompte macabre, Caminando Fronteras précise que ces chiffres sont en nette diminution par rapport à l’année précédente, où 4 639 migrants sont morts.
Elle ajoute que la plupart d’entre eux l’ont fait sur la route des Canaries, celle qui part des côtes du Sénégal vers l’archipel espagnol où 1 784 immigrés sont morts. Parmi les défunts, il y a 101 enfants et 288 femmes qui n’ont pas pu rejoindre l’Europe.
L’ONG souligne également que la grande majorité des défunts ne sont jamais retrouvés.
« Les corps non localisés sont à 91,42%. « Ce qui a un impact terrible pour leurs familles et leurs communautés d’origine en raison de l’impossibilité de faire un deuil complet et des implications juridiques et psychologiques », note le rapport. Malgré ce décompte macabre, Caminando Fronteras précise que ces chiffres sont en nette diminution par rapport à l’année précédente, où 4 639 migrants sont morts.