Les propos du ministre Mbagnick Ndiaye continuent de susciter de vives réactions dans le landerneau politique.
Après la diffusion d'un communiqué de presse d'explications qui n'émanerait pas des services du ministre mis en cause, Mbagnick Ndiaye pour ne pas le nommer, voilà qu'une autre voix de l'Apr se fait audible, pour demander le limogeage de l'actuel ministre de la Culture qui, dans une vidéo diffusée sur la toile, exprime tous ses remerciements à la Première Dame, Marième Faye qui serait derrière leur nomination dans le gouvernement, à lui, Mbagnick Ndiaye et à Matar Ba, le nouveau ministre des Sports, originaires tous les deux de la même région que le président de la République, la région de Fatick.
«Nous ne sommes rien sans le Président Macky Sall, que nous ne remercierons jamais assez. Nous devons également remercier, Marième Faye Sall, la première dame. Parce que sans elle nous ne serions pas aujourd’hui à nos postes de ministres Matar Ba et moi», déclarait Mbagnick Ndiaye qui risque fort de payer ses aveux terribles que ses frères de partis ne lui pardonnent pas, manifestement
Après la diffusion d'un communiqué de presse d'explications qui n'émanerait pas des services du ministre mis en cause, Mbagnick Ndiaye pour ne pas le nommer, voilà qu'une autre voix de l'Apr se fait audible, pour demander le limogeage de l'actuel ministre de la Culture qui, dans une vidéo diffusée sur la toile, exprime tous ses remerciements à la Première Dame, Marième Faye qui serait derrière leur nomination dans le gouvernement, à lui, Mbagnick Ndiaye et à Matar Ba, le nouveau ministre des Sports, originaires tous les deux de la même région que le président de la République, la région de Fatick.
«Nous ne sommes rien sans le Président Macky Sall, que nous ne remercierons jamais assez. Nous devons également remercier, Marième Faye Sall, la première dame. Parce que sans elle nous ne serions pas aujourd’hui à nos postes de ministres Matar Ba et moi», déclarait Mbagnick Ndiaye qui risque fort de payer ses aveux terribles que ses frères de partis ne lui pardonnent pas, manifestement