La construction du Pont de Rosso, infrastructure essentielle du corridor Transcôtier Tanger – Casablanca – Nouakchott – Dakar – Abidjan -Lagos participe grandement à la mise en œuvre de la politique d'intégration sous régionale.
Cette dernière a pour ambition de favoriser l'interconnexion des réseaux routiers des deux pays, réduire la durée des voyages, accroître les échanges commerciaux et renforcer la cohésion entre les deux peuples.
Au demeurant, le pont qui concrétise cet engagement commun constituera également une passerelle stratégique et économique entre la Mauritanie et le Sénégal. Par ailleurs, il servira de trait d’union entre l’Europe et l’Afrique subsaharienne. En ce sens, le projet du Pont de Rosso s'inscrit donc parfaitement dans une volonté partagée de renforcer la coopération entre la Mauritanie et le Sénégal et dans le choix d'accorder une importance particulière à la construction d'infrastructures de transport à dimensions régionale et continentale, conformément aux stratégies établies par l'Organisation pour la Mise en Valeur du Fleuve Sénégal (OMVS) et le Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique (NEPAD).
Ainsi, il favorise de manière considérable l’intégration régionale et cadre parfaitement avec les priorités de la Banque Africaine de Développement en matière de développement des infrastructures, également soutenues par l’Union Européenne. Le pont de Rosso qui sera érigé sur le fleuve Sénégal s'étend sur 1461 mètres de long pour une largeur de 14,55 mètres et 8 km de routes d’accès.
Ce projet de construction, dans toutes ses composantes, est financé à hauteur 87,63 Millions d’Euros dont : 40,75 Millions d’Euros par la Banque Africaine de Développement (BAD) ; 22,30 Millions d’Euros par la Banque Européenne d’Investissement (BEI) ; un don de l’Union Européenne à hauteur de 20 millions d’Euros ; des contributions de 3,50 Millions d’Euros pour la Mauritanie et 1,04 Million d’Euros pour le Sénégal.
Le ministre Mansour FAYE a profité de l’occasion pour appeler les services compétents à travailler rapidement sur un accord consensuel pour la suppression de la pratique de rupture de charge à la frontière entre les deux pays. Cette pratique, en plus de constituer un obstacle majeur au développement des échanges entre nos deux pays, est une condition liée aux accords de prêt. Il a aussi invité les deux parties à travailler sur un plan de gestion et d’exploitation du pont qui permettra de garantir la durabilité des investissements. Elles devront également trouver des moyens suffisants pour assurer l’entretien de l’ouvrage. Les travaux vont démarrer au mois de juin pour une durée de 30 mois.
Cette dernière a pour ambition de favoriser l'interconnexion des réseaux routiers des deux pays, réduire la durée des voyages, accroître les échanges commerciaux et renforcer la cohésion entre les deux peuples.
Au demeurant, le pont qui concrétise cet engagement commun constituera également une passerelle stratégique et économique entre la Mauritanie et le Sénégal. Par ailleurs, il servira de trait d’union entre l’Europe et l’Afrique subsaharienne. En ce sens, le projet du Pont de Rosso s'inscrit donc parfaitement dans une volonté partagée de renforcer la coopération entre la Mauritanie et le Sénégal et dans le choix d'accorder une importance particulière à la construction d'infrastructures de transport à dimensions régionale et continentale, conformément aux stratégies établies par l'Organisation pour la Mise en Valeur du Fleuve Sénégal (OMVS) et le Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique (NEPAD).
Ainsi, il favorise de manière considérable l’intégration régionale et cadre parfaitement avec les priorités de la Banque Africaine de Développement en matière de développement des infrastructures, également soutenues par l’Union Européenne. Le pont de Rosso qui sera érigé sur le fleuve Sénégal s'étend sur 1461 mètres de long pour une largeur de 14,55 mètres et 8 km de routes d’accès.
Ce projet de construction, dans toutes ses composantes, est financé à hauteur 87,63 Millions d’Euros dont : 40,75 Millions d’Euros par la Banque Africaine de Développement (BAD) ; 22,30 Millions d’Euros par la Banque Européenne d’Investissement (BEI) ; un don de l’Union Européenne à hauteur de 20 millions d’Euros ; des contributions de 3,50 Millions d’Euros pour la Mauritanie et 1,04 Million d’Euros pour le Sénégal.
Le ministre Mansour FAYE a profité de l’occasion pour appeler les services compétents à travailler rapidement sur un accord consensuel pour la suppression de la pratique de rupture de charge à la frontière entre les deux pays. Cette pratique, en plus de constituer un obstacle majeur au développement des échanges entre nos deux pays, est une condition liée aux accords de prêt. Il a aussi invité les deux parties à travailler sur un plan de gestion et d’exploitation du pont qui permettra de garantir la durabilité des investissements. Elles devront également trouver des moyens suffisants pour assurer l’entretien de l’ouvrage. Les travaux vont démarrer au mois de juin pour une durée de 30 mois.