« Le département de Podor est totalement délaissée, malade et abandonné par les autorités ». Un état clinique de la localité qui irrite le mouvement « Podor va mal » qui ne manque pas de sonner la mobiliser. Tout pour obliger l’Etat à prendre en charge les préoccupations des populations.
Le coordonnateur dudit mouvement « Podor va mal », Lamine BA qui en parle, précise. « On a trouvé un département de Podor malade, abandonné par les autorités. La preuve aujourd’hui pour accéder à des villages situés dans l’Ile à Morfil, on est obligé d’emprunter des bacs de fortune où les usagers sont obligés de tirer sur des cordes pour faire avancer le bac. On a rencontré des paysans fatigués et qui sont aujourd’hui entre le marteau des dettes contractées au niveau des banques, des étudiants ne sachant plus à quel saint se vouer. Voilà le tableau clinique du département de Podor. En résumé, nous pouvons dire que c’est un département oublié par le régime en place ».
Avant de sonner la mobilisation. « Nous avons tenu un point de presse pour tirer la sonnette d’alarme et attirer l’attention de l’ensemble des fils de Podor qui sont aujourd’hui concernés par le développement de Podor de se réunir de se mobiliser pour qu’ensemble nous pussions mettre la pression sur les autorités afin que les préoccupations des populations soient prises en compte en fait. Vous imaginez, les populations préfèrent envoyer leurs malades vers la Mauritanie à plus de 300 km au lieur de les emmener à Ndioum à moins de 5 km faute de route, de pistes, de moyens de déplacement. C’est triste et décevant ».
Pressafrik
Le coordonnateur dudit mouvement « Podor va mal », Lamine BA qui en parle, précise. « On a trouvé un département de Podor malade, abandonné par les autorités. La preuve aujourd’hui pour accéder à des villages situés dans l’Ile à Morfil, on est obligé d’emprunter des bacs de fortune où les usagers sont obligés de tirer sur des cordes pour faire avancer le bac. On a rencontré des paysans fatigués et qui sont aujourd’hui entre le marteau des dettes contractées au niveau des banques, des étudiants ne sachant plus à quel saint se vouer. Voilà le tableau clinique du département de Podor. En résumé, nous pouvons dire que c’est un département oublié par le régime en place ».
Avant de sonner la mobilisation. « Nous avons tenu un point de presse pour tirer la sonnette d’alarme et attirer l’attention de l’ensemble des fils de Podor qui sont aujourd’hui concernés par le développement de Podor de se réunir de se mobiliser pour qu’ensemble nous pussions mettre la pression sur les autorités afin que les préoccupations des populations soient prises en compte en fait. Vous imaginez, les populations préfèrent envoyer leurs malades vers la Mauritanie à plus de 300 km au lieur de les emmener à Ndioum à moins de 5 km faute de route, de pistes, de moyens de déplacement. C’est triste et décevant ».
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