Plusieurs doléances ont été formulées par les producteurs des différentes filières agricoles, mardi, à l’occasion du forum organisé à Aéré Lao, à l’occasion de la tournée économique du président Macky Sall dans la zone Nord du pays.
Parmi les doléances les plus récurrentes, celles liées à la prime fixe de l’électricité pour laquelle le président de la filière riz Saliou Sarr a fait la proposition d’une solution en prônant une subvention du prix de cession.
La prime fixe de la SENELEC peut être revue à la baisse dans la mesure où, selon lui, grâce au barrage de Manantali le KW revient à l’entreprise d’électricité à 30 F et une subvention aurait pu régler le problème de la cherté de cet intrant fixé à 80 f le KW.
Il a remercié le président pour l’effacement de la dette paysanne dont une bonne partie (8 sur 11 milliards au profit des producteurs de Dagana) ainsi que les producteurs de tomates qui en ont bénéficié pour 1,5 milliard.
Pour la filière tomate, le président Abdoulaye Dieng a posé le problème de l’installation de Takamoul et Agroline dans la vallée ainsi que la réouverture de la deuxième usine de la Socas qui a été fermée. Contrairement à ses autres concurrentes aussi, la Socas n’a pas encore signé avec les producteurs qui ont déjà contractualisé pour 40 000 tonnes pour la prochaine campagne.
La présidente de la Fédération des productrices du delta (FEPRODES), Penda Guèye Cissé, a posé le problème des mutuelles qui font face à d’énormes difficultés pour mener normalement leurs activités les obligeant souvent à fermer.
Elle a souhaité un appui pour une redynamisation de ce secteur tout en reconnaissant les efforts consentis par l’Etat pour booster la filière rizicole où beaucoup de femmes s’activent malgré les contraintes liées à l’accès aux terres principalement.
Les difficultés rencontrées par les riziers dans leurs activités de collecte du paddy ont été évoquées par Korka Diao qui a émis également le souhait de voir ces structures dotées de financements suffisants pour acheter les récoltes.
Le problème de magasin de stockage et de la commercialisation, des oiseaux granivores ainsi que plusieurs autres obstacles à l’épanouissement des producteurs ont été soulevés avec come ambition principale l’atteinte de l’autosuffisance d’une manière générale et du riz en particulier en 2017.
APS
Parmi les doléances les plus récurrentes, celles liées à la prime fixe de l’électricité pour laquelle le président de la filière riz Saliou Sarr a fait la proposition d’une solution en prônant une subvention du prix de cession.
La prime fixe de la SENELEC peut être revue à la baisse dans la mesure où, selon lui, grâce au barrage de Manantali le KW revient à l’entreprise d’électricité à 30 F et une subvention aurait pu régler le problème de la cherté de cet intrant fixé à 80 f le KW.
Il a remercié le président pour l’effacement de la dette paysanne dont une bonne partie (8 sur 11 milliards au profit des producteurs de Dagana) ainsi que les producteurs de tomates qui en ont bénéficié pour 1,5 milliard.
Pour la filière tomate, le président Abdoulaye Dieng a posé le problème de l’installation de Takamoul et Agroline dans la vallée ainsi que la réouverture de la deuxième usine de la Socas qui a été fermée. Contrairement à ses autres concurrentes aussi, la Socas n’a pas encore signé avec les producteurs qui ont déjà contractualisé pour 40 000 tonnes pour la prochaine campagne.
La présidente de la Fédération des productrices du delta (FEPRODES), Penda Guèye Cissé, a posé le problème des mutuelles qui font face à d’énormes difficultés pour mener normalement leurs activités les obligeant souvent à fermer.
Elle a souhaité un appui pour une redynamisation de ce secteur tout en reconnaissant les efforts consentis par l’Etat pour booster la filière rizicole où beaucoup de femmes s’activent malgré les contraintes liées à l’accès aux terres principalement.
Les difficultés rencontrées par les riziers dans leurs activités de collecte du paddy ont été évoquées par Korka Diao qui a émis également le souhait de voir ces structures dotées de financements suffisants pour acheter les récoltes.
Le problème de magasin de stockage et de la commercialisation, des oiseaux granivores ainsi que plusieurs autres obstacles à l’épanouissement des producteurs ont été soulevés avec come ambition principale l’atteinte de l’autosuffisance d’une manière générale et du riz en particulier en 2017.
APS