« Nous ne sommes pas encore prêts. L’Etat doit légiférer pour soutenir le privé national comme au Ghana, Angola, Nigéria… », a lancé Birame Diouf, ancien agent de la société Petrosen. C’était, mercredi lors de l’annonce de la tenue prochaine d’un salon au mois de mai à Dakar et qui vise à offrir un cadre d’informations et d’échanges pour les pétroliers sénégalais. Cela en perspective de 2021-2022, années où les premiers barils doivent commencer à tomber.
Cette rencontre a été initiée par l’Association sénégalaise pour le développement des énergies en Afrique (Asdea), une plateforme qui regroupe des professionnels du métier de l’énergie qui ont plus de 30 ans d’expérience et qui veulent apporter leur appui.
Ce rendez-vous avec des experts internationaux va aider le secteur privé sénégalais à mieux saisir la question du pétrole. Il mettra le privé en contact avec d’autres professionnels. L’objectif étant de travailler ensemble. Selon M. Diouf, il faut organiser le privé sénégalais pour qu’il prenne de l’avance quand ces découvertes seront là.
Cette préparation va permettre aux pétroliers sénégalais de mieux assurer l’offre locale ou le « local content » aux partenaires étrangers qui sont dans le secteur du pétrole au Sénégal.
Pour Mohammad Abdallahi Seck, Secrétaire général de l’Asdea, le Sénégal va devenir un pays pétrolier. Les pétroliers veulent aussi avoir leur part d’offres de contenu local quand les exploitations vont commencer. Et ce contenu prend en compte les emplois, les achats auprès des Sénégalais et les offres de services sénégalais. Pour cela, dit-il, il faudrait qu’ils soient informés. L’intérêt de cette réunion est que le secteur privé sénégalais trouve son compte dans le marché du pétrole à tous les niveaux (approvisionnement, transport…).
Walf Quotidien
Cette rencontre a été initiée par l’Association sénégalaise pour le développement des énergies en Afrique (Asdea), une plateforme qui regroupe des professionnels du métier de l’énergie qui ont plus de 30 ans d’expérience et qui veulent apporter leur appui.
Ce rendez-vous avec des experts internationaux va aider le secteur privé sénégalais à mieux saisir la question du pétrole. Il mettra le privé en contact avec d’autres professionnels. L’objectif étant de travailler ensemble. Selon M. Diouf, il faut organiser le privé sénégalais pour qu’il prenne de l’avance quand ces découvertes seront là.
Cette préparation va permettre aux pétroliers sénégalais de mieux assurer l’offre locale ou le « local content » aux partenaires étrangers qui sont dans le secteur du pétrole au Sénégal.
Pour Mohammad Abdallahi Seck, Secrétaire général de l’Asdea, le Sénégal va devenir un pays pétrolier. Les pétroliers veulent aussi avoir leur part d’offres de contenu local quand les exploitations vont commencer. Et ce contenu prend en compte les emplois, les achats auprès des Sénégalais et les offres de services sénégalais. Pour cela, dit-il, il faudrait qu’ils soient informés. L’intérêt de cette réunion est que le secteur privé sénégalais trouve son compte dans le marché du pétrole à tous les niveaux (approvisionnement, transport…).
Walf Quotidien