Le débat est clos. L’UNESCO (Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture) a officiellement reconnu le Sénégal comme étant le pays d’origine du « Ceebu jën », connu également sous le nom de Jollof rice en référence à un ancien royaume du Sénégal qui a existé entre le 12e et le 13e siècle.
Cette annonce met fin à un débat de longue date, voire une rivalité, entre le Ghana, le Nigeria et le Sénégal. En effet, ce plat est très prisé en Afrique de l’Ouest.
Selon des recherches menées par The Conversation Africa et citées par Business Insider, les origines du Thiébou Dieune remontent à l’époque coloniale, entre 1860 et 1940.
Durant cette période, les colonisateurs français ont remplacé les cultures vivrières par des brisures de riz importées d’Indochine. Au fil du temps, les brisures de riz sont devenues plus prisées par les Sénégalais que le grain de riz entier. C’est là qu’est né le « Ceebu jën ».
Cette annonce met fin à un débat de longue date, voire une rivalité, entre le Ghana, le Nigeria et le Sénégal. En effet, ce plat est très prisé en Afrique de l’Ouest.
Selon des recherches menées par The Conversation Africa et citées par Business Insider, les origines du Thiébou Dieune remontent à l’époque coloniale, entre 1860 et 1940.
Durant cette période, les colonisateurs français ont remplacé les cultures vivrières par des brisures de riz importées d’Indochine. Au fil du temps, les brisures de riz sont devenues plus prisées par les Sénégalais que le grain de riz entier. C’est là qu’est né le « Ceebu jën ».