La première réunion de la Commission de la Fiscalité Locale (CFL) de Saint-Louis, s’est tenue, jeudi, en présence de représentants de services techniques décentrés, de délégués de quartiers et de conseillers municipaux.
La mise place de cette entité instaurée par la dernière révision du code général des impôts, entrée en vigueur, le 1er janvier 2013, permettra d’accroitre la transparence et la compréhension par les acteurs de la société civile, des processus complexes conduisant à la détermination des recettes fiscales des collectivités territoriales.
Au nom de l’équipe municipale de Saint-Louis, l’adjoint au maire Latyr FALL, a salué l’accompagnement des services fiscaux de Saint-Louis et du Partenariat dans la mise sur orbite de cette institution locale, en magnifiant l’appui du Service de coopération et d’Action Sociale (SCAC) de l’Ambassade de France au Sénégal.
« Aujourd’hui, nous avons des commissaires bien capacités grâce au soutien de nos partenaires », s’est félicité M. FALL, président de ladite commission.
« Le mystère sur la gestion des recettes va se dissiper, au niveau des populations, avec l’installation de la CFL », a-t-il ajouté, expliquant que cette instance favorisera plus de dialogues et de concertations entre les différentes entités regroupées.
« Aujourd’hui, les collectivités locales comprennent que sans fiscalité locale, elles n’ont pas les moyens de répondre aux besoins des populations », a expliqué Nicolas Dupuy, coordinateur du Partenariat, l’opérateur de la dernière année d’exécution du projet Gouvernance Urbaine et Fiscalité Locale (GUFL).
« Elles ont besoin de ressources pour régler les problèmes de nettoiement, d’éclairage public, de routes, d’entretiens des bâtiments municipaux, etc. Elles ne peuvent y arriver si elles n’ont pas de fiscalité locale », a-t-il précisé en révélant que « cette expérience novatrice sera étendue à l’ensemble des communes du Sénégal ».
Pour Ngor DIONE, le chef de centre des services fiscaux de Saint-Louis, le choix de la capitale du Nord pour lancer la première CFL du Sénégal n’est pas fortuit. Il évoque, à ce titre, la place historique de la ville, première capitale de l’Afrique-Occidentale française (AOF). En a croire M. DIONE, la CLF « favorisera une meilleure gestion, assura la transparence dans l’imposition de l’assiette fiscale de la collectivité locale », a dit M. DIONE.
►►► Suivez, en vidéo, sur votre portail préféré, les explications de M. FALL, M.DUPUY et M. DIONE
La mise place de cette entité instaurée par la dernière révision du code général des impôts, entrée en vigueur, le 1er janvier 2013, permettra d’accroitre la transparence et la compréhension par les acteurs de la société civile, des processus complexes conduisant à la détermination des recettes fiscales des collectivités territoriales.
Au nom de l’équipe municipale de Saint-Louis, l’adjoint au maire Latyr FALL, a salué l’accompagnement des services fiscaux de Saint-Louis et du Partenariat dans la mise sur orbite de cette institution locale, en magnifiant l’appui du Service de coopération et d’Action Sociale (SCAC) de l’Ambassade de France au Sénégal.
« Aujourd’hui, nous avons des commissaires bien capacités grâce au soutien de nos partenaires », s’est félicité M. FALL, président de ladite commission.
« Le mystère sur la gestion des recettes va se dissiper, au niveau des populations, avec l’installation de la CFL », a-t-il ajouté, expliquant que cette instance favorisera plus de dialogues et de concertations entre les différentes entités regroupées.
« Aujourd’hui, les collectivités locales comprennent que sans fiscalité locale, elles n’ont pas les moyens de répondre aux besoins des populations », a expliqué Nicolas Dupuy, coordinateur du Partenariat, l’opérateur de la dernière année d’exécution du projet Gouvernance Urbaine et Fiscalité Locale (GUFL).
« Elles ont besoin de ressources pour régler les problèmes de nettoiement, d’éclairage public, de routes, d’entretiens des bâtiments municipaux, etc. Elles ne peuvent y arriver si elles n’ont pas de fiscalité locale », a-t-il précisé en révélant que « cette expérience novatrice sera étendue à l’ensemble des communes du Sénégal ».
Pour Ngor DIONE, le chef de centre des services fiscaux de Saint-Louis, le choix de la capitale du Nord pour lancer la première CFL du Sénégal n’est pas fortuit. Il évoque, à ce titre, la place historique de la ville, première capitale de l’Afrique-Occidentale française (AOF). En a croire M. DIONE, la CLF « favorisera une meilleure gestion, assura la transparence dans l’imposition de l’assiette fiscale de la collectivité locale », a dit M. DIONE.
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