Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet de Protection Côtière à Saint-Louis (PPCS), l’ADM (Agence de Développement Municipal), l’ADC (Agence de Développement Communal) et la Commune de Saint-Louis attirent l’attention des usagers de la plage sur les dangers liés à leur présence dans l’emprise des chantiers en cours.
Durant cette période estivale où l’on note une forte affluence au bord de la mer, les plages sont prises d’assaut et la zone des travaux n’est pas épargnée.
Baigneurs, footballeurs organisant des tournois, randonneurs et vacanciers venus des autres localités du pays, se livrent aux loisirs sans tenir compte des risques d’accidents encourus. A cela s’ajoutent les animaux en divagation. Toutes choses qui constituent également des entraves à la bonne marche des travaux et ralentissent le déplacement des camions et autres engins sur le site. Conséquences, la livraison des chantiers risque d’accuser des retards par rapport aux délais que l’entreprise en charge des travaux s’était engagée à respecter.
Dès lors, délocaliser les activités de loisir hors de la zone des travaux devient un impératif urgent. Aussi, est-il recommandé aux populations de s’abstenir de dégrader les panneaux de signalisation installés sur le site et d’emprunter les voies de passage aménagées à cet effet pour l’accès à la mer. L’ADM, l’ADC et la Commune de Saint-Louis en appellent à la responsabilité de tous les citoyens et au respect des mesures de sécurité qui demeurent les seuls moyens de prévenir les accidents.
Pour rappel, le PPCS vise à protéger les populations et leurs biens contre les effets néfastes de l’avancée de la mer et à contribuer à l’amélioration des connaissances scientifiques sur les enjeux côtiers et à leur diffusion. En effet, les quartiers de Saint-Louis situés dans la Langue de Barbarie sont soumis aux effets des changements climatiques que sont, entre autres, l’érosion du littoral qui entraine le recul de la ligne de rivage et provoque parfois une submersion marine et des inondations. En dix ans, l’érosion côtière a provoqué la disparition de près de 800 mètres de plage au niveau des quartiers du littoral.
Les habitations situées sur la côte et les infrastructures sont détruites ou directement menacées par ce phénomène qui impacte fortement sur les activités économiques, la vie et la santé des populations.
Face à ce phénomène, le Gouvernement du Sénégal est intervenu d’urgence en obtenant de l’Agence Française de Développement (AFD) un financement de seize millions (16 000 000) d’euros, pour la mise en œuvre du projet de protection du littoral dénommé« Projet de Protection Côtière à Saint-Louis (PPCS) ».
Les travaux de construction de la digue d’une longueur de 2150 mètres vont bon train et seront achevés dans huit mois environ.
Durant cette période estivale où l’on note une forte affluence au bord de la mer, les plages sont prises d’assaut et la zone des travaux n’est pas épargnée.
Baigneurs, footballeurs organisant des tournois, randonneurs et vacanciers venus des autres localités du pays, se livrent aux loisirs sans tenir compte des risques d’accidents encourus. A cela s’ajoutent les animaux en divagation. Toutes choses qui constituent également des entraves à la bonne marche des travaux et ralentissent le déplacement des camions et autres engins sur le site. Conséquences, la livraison des chantiers risque d’accuser des retards par rapport aux délais que l’entreprise en charge des travaux s’était engagée à respecter.
Dès lors, délocaliser les activités de loisir hors de la zone des travaux devient un impératif urgent. Aussi, est-il recommandé aux populations de s’abstenir de dégrader les panneaux de signalisation installés sur le site et d’emprunter les voies de passage aménagées à cet effet pour l’accès à la mer. L’ADM, l’ADC et la Commune de Saint-Louis en appellent à la responsabilité de tous les citoyens et au respect des mesures de sécurité qui demeurent les seuls moyens de prévenir les accidents.
Pour rappel, le PPCS vise à protéger les populations et leurs biens contre les effets néfastes de l’avancée de la mer et à contribuer à l’amélioration des connaissances scientifiques sur les enjeux côtiers et à leur diffusion. En effet, les quartiers de Saint-Louis situés dans la Langue de Barbarie sont soumis aux effets des changements climatiques que sont, entre autres, l’érosion du littoral qui entraine le recul de la ligne de rivage et provoque parfois une submersion marine et des inondations. En dix ans, l’érosion côtière a provoqué la disparition de près de 800 mètres de plage au niveau des quartiers du littoral.
Les habitations situées sur la côte et les infrastructures sont détruites ou directement menacées par ce phénomène qui impacte fortement sur les activités économiques, la vie et la santé des populations.
Face à ce phénomène, le Gouvernement du Sénégal est intervenu d’urgence en obtenant de l’Agence Française de Développement (AFD) un financement de seize millions (16 000 000) d’euros, pour la mise en œuvre du projet de protection du littoral dénommé« Projet de Protection Côtière à Saint-Louis (PPCS) ».
Les travaux de construction de la digue d’une longueur de 2150 mètres vont bon train et seront achevés dans huit mois environ.