Momar FALL est un jeune instituteur très ouvert d’esprit qui est né à SAINT-LOUIS le 17 juillet 1982 d’un père enseignant et d’une mère ménagère. Il est membre de plusieurs associations à caractère locale ou national agissants dans le développement. Il est aussi le coordonnateur du Cercle des Intellectuels Emergents.
Ma candidature au CNJS est motivée comme toujours par le souci de participer activement dans la mesure de mes possibilités et compétences à l’émergence de notre pays mais aussi à l’amélioration de la condition de vie des jeunes.
Il faut rappeler que j’ai été dans toutes les étapes de renouvellement des organes de base du CNJS à SAINT-LOUIS.
-Candidat à la présidence du CCJ de SAINT-LOUIS (retirée par consensus après de nombreuses médiations de la part des autorités locales) finalement SG du CCJ
-Candidat à la présidence du CRJ de SAINT-LOUIS (retirée par consensus et accepté d’être le candidat du département pour la présidence du CNJS avec des accords signés)
Le chemin a été long et difficile, mais à chaque fois j’ai su bénéficier de la confiance de mes pairs au nom de l’intérêt supérieur de la Jeunesse.
On est en train de travailler autour d’une grande coalition pour défendre notre candidature et notre programme qui s’inspire aussi des acquis du plan Sénégal Emergent. Une fois élus, nous allons mener une politique éducative qui permettra de rehausser le taux de réussite aux examens, remplir pleinement le cahier de charge du CNJS, nous ouvrir aux partenaires de développement et consolider les acquis du bureau sortant mais aussi cultiver chez les jeunes les valeurs que sont : l’autonomie, l’approche éthique, la responsabilité l’équité dans les actions l’intégrité.
Noter aussi, qu’on s’efforcera autant que possible à privilégier la concertation, l’horizontalité, la transparence et la subsidiarité.
- COMMENT ASSISTER LA JEUNESSE
Pour assister la jeunesse il faut d’abord cerner la problématique de l’emploi. Nous ambitionnons de faire le plaidoyer pour une bonne politique dans le volet de la formation professionnelle. Exemple avec la découverte du pétrole, SAINT-LOUIS doit pouvoir abriter une école de formation sur les métiers du pétrole. Faire aussi la promotion de l’auto emploi par l’obtention de financement après avoir déposé un projet bancable seule gage d’un développement durable.
La situation de l’emploi n’est pas satisfaisante malgré les efforts de l’Etat, le taux de chômage est toujours élevé. Il nous faut faire la promotion des métiers de l’agriculture non seulement pour atteindre l’autosuffisance alimentaire mais aussi réduire de manière conséquente les risques liés à ce chômage grandissant. Noter également que cela passe forcément par une bonne formation et nous ferons le plaidoyer auprès des autorités compétentes.