Le mouvement d’humeur des transporteurs du Sénégal a été largement suivi dans la capitale du nord. Au grand bonheur des charretiers. Les grandes artères de la ville se sont complètement vidées des leurs flux habituels d’automobiles provoquant un état de dépaysement indescriptible.
Aux sorties des grands quartiers comme Pikine, Gueth Ndar, Gokhou Mbathie, Diameguene et Leona, les charrettes comblent le décor et se stationnent en masse.
Bouba Ndiaye, charretier de son état ne retient pas sa joie, ‘’ c’est notre jour de chance. Les transporteurs doivent faire la grève parfois pour nous donner la possibilité de mettre quelque chose dans les poches’’, lance-t-il d’un ton ironique.
Apres avoir déposé une dizaine de personnes vers les jardins du pont Faidherbe, il rejoint le peloton de calèches qui se stationnent à ce niveau.
Une ambiance insolite qui transforme la ville de Mame Coumba Bang en un gros village. Encore une preuve que ‘’le malheur des uns fait le bonheur des autres''.
Cheikh Saad Bou SEYE
Aux sorties des grands quartiers comme Pikine, Gueth Ndar, Gokhou Mbathie, Diameguene et Leona, les charrettes comblent le décor et se stationnent en masse.
Bouba Ndiaye, charretier de son état ne retient pas sa joie, ‘’ c’est notre jour de chance. Les transporteurs doivent faire la grève parfois pour nous donner la possibilité de mettre quelque chose dans les poches’’, lance-t-il d’un ton ironique.
Apres avoir déposé une dizaine de personnes vers les jardins du pont Faidherbe, il rejoint le peloton de calèches qui se stationnent à ce niveau.
Une ambiance insolite qui transforme la ville de Mame Coumba Bang en un gros village. Encore une preuve que ‘’le malheur des uns fait le bonheur des autres''.
Cheikh Saad Bou SEYE