S’adressant au représentant de l’Allemagne, qui s’est plaint des nouveaux alliés du Mali, le ministre lui a clairement fait savoir qu’il n’a aucun droit de dire aux Maliens avec qui travailler ou qui ne pas travailler. Il a également ajouter que tous les pays sont libres de travailler avec le Mali ou de ne pas le faire, mais seront tous obligés de respecter les choix du Mali.
Il s’exprimait lors de la 3e réunion du Groupe de Soutien à la Transition au Mali, au Togo.
Il s’exprimait lors de la 3e réunion du Groupe de Soutien à la Transition au Mali, au Togo.