Une atmosphère de vices sans précèdent a sévit les semaine passées à Nouakchott avec une complaisance notoire des autorités sécuritaires, cette atmosphère a touché plus d’une Moughataa .
Dans un rapport publié par le site INIT , plusieurs crimes de viols ont été signalés la semaine écoulée sans poursuite juridique malgré la plainte des victimes ,en proie à des bandes de criminels.
Le même rapport fait mention du transfert d’un étudiant à la faculté des sciences juridiques( 4 eme année) au parquet suite à une accusation de viol de deux mineurs, le 9 juillet courant ( 5 et 7 ans ) à Toujounine.
Le 20 juillet courant une autre mineure Aichetou (5 ans) a été violée par un jeune qui d’après sa famille « fut vite libéré dans le week-end sans que la victime bénéficie du soin psychologique et physique nécessaires » .Sidi Mohamed le frère aîné de la victime a appelé les ONG de protection de l’enfance, d’intervenir d’urgence pour assister la mineure Aichetou (orpheline du père et de la mère) qui souffre de douleurs et de saignements chroniques et qui pleure sans cesse » ajoute-il.
Dans le secteur 17 de Dar Naim,les voisins ont surpris un homme adulte en flagrant délit lorsqu’il violait un mineur de 8 ans ,l’affaire a été vite résolue par une intervention tribale qui n’ a pas pris en compte les droits de la victime ,ni rapporter son cas au commissariat de police ni le présenter à l’hôpital.
Dans la même Moughataa , la mère Fatou a rapporté que sa fille Ramata de treize ans qui vendait du couscous a été enlevée et violée par une bande de criminels . la victime a informé sa mère que les criminels étaient au nombre de trois et qu’ils parlaient le dialecte Hassaniya et qu’ils ont menacé la victime de la tuer en cas de cris alors que le poste nocturne de gendarmerie était seulement à 200 m du lieu du crime.
La Mougataa d’El Mina fut secouée au début du mois courant lorsque deux adolescents se sont battu jusqu’à ce que la mort de l’un d’eux. Le crime a eut lieu suite à un combat entre les deux jeunes pour prendre la main d’une adolescente.
Le même site a cité le cas d’un officier de police qui est commissaire à l’heure actuelle d’un commissariat de police et qui a comparu récemment devant le procureur de la république suite à une plainte d’une famille habite à Riyad après avoir violé leur jeune fille et a une transgression de l’honneur de la famille qui a son tour a demandé vengeance.
La jeune Mariem a échappé de justesse d’une tentative de viol lorsqu’elle tentait de fermer le portail de leur maison située a Dar Essalam lorsqu’un homme déguisé a essayé d’attraper sa main ,ne capturant enfin de compte que son téléphone portable qu’ elle tenait . après des cris d’alertes lancée par la jeune en panic,le coquin a pris la fuite.
Malgré la présence nocturne des forces de sécurité dans les coins de la capitale ,la sécurité des citoyens de leurs enfants et de leurs biens reste fragile telle une toile d’araignée.
www.cridem.org://
Dans un rapport publié par le site INIT , plusieurs crimes de viols ont été signalés la semaine écoulée sans poursuite juridique malgré la plainte des victimes ,en proie à des bandes de criminels.
Le même rapport fait mention du transfert d’un étudiant à la faculté des sciences juridiques( 4 eme année) au parquet suite à une accusation de viol de deux mineurs, le 9 juillet courant ( 5 et 7 ans ) à Toujounine.
Le 20 juillet courant une autre mineure Aichetou (5 ans) a été violée par un jeune qui d’après sa famille « fut vite libéré dans le week-end sans que la victime bénéficie du soin psychologique et physique nécessaires » .Sidi Mohamed le frère aîné de la victime a appelé les ONG de protection de l’enfance, d’intervenir d’urgence pour assister la mineure Aichetou (orpheline du père et de la mère) qui souffre de douleurs et de saignements chroniques et qui pleure sans cesse » ajoute-il.
Dans le secteur 17 de Dar Naim,les voisins ont surpris un homme adulte en flagrant délit lorsqu’il violait un mineur de 8 ans ,l’affaire a été vite résolue par une intervention tribale qui n’ a pas pris en compte les droits de la victime ,ni rapporter son cas au commissariat de police ni le présenter à l’hôpital.
Dans la même Moughataa , la mère Fatou a rapporté que sa fille Ramata de treize ans qui vendait du couscous a été enlevée et violée par une bande de criminels . la victime a informé sa mère que les criminels étaient au nombre de trois et qu’ils parlaient le dialecte Hassaniya et qu’ils ont menacé la victime de la tuer en cas de cris alors que le poste nocturne de gendarmerie était seulement à 200 m du lieu du crime.
La Mougataa d’El Mina fut secouée au début du mois courant lorsque deux adolescents se sont battu jusqu’à ce que la mort de l’un d’eux. Le crime a eut lieu suite à un combat entre les deux jeunes pour prendre la main d’une adolescente.
Le même site a cité le cas d’un officier de police qui est commissaire à l’heure actuelle d’un commissariat de police et qui a comparu récemment devant le procureur de la république suite à une plainte d’une famille habite à Riyad après avoir violé leur jeune fille et a une transgression de l’honneur de la famille qui a son tour a demandé vengeance.
La jeune Mariem a échappé de justesse d’une tentative de viol lorsqu’elle tentait de fermer le portail de leur maison située a Dar Essalam lorsqu’un homme déguisé a essayé d’attraper sa main ,ne capturant enfin de compte que son téléphone portable qu’ elle tenait . après des cris d’alertes lancée par la jeune en panic,le coquin a pris la fuite.
Malgré la présence nocturne des forces de sécurité dans les coins de la capitale ,la sécurité des citoyens de leurs enfants et de leurs biens reste fragile telle une toile d’araignée.
www.cridem.org://