Le Conseil municipal de la Commune de Ndombo Sandiéry dément jeudi avoir engagé une procédure judiciaire contre l’ancien ministre Abdoulaye Saïdou SOW pour annuler le morcellement autorisé par l’arrêté n°018236 du 4 mai 2021. En colère contre une campagne de désinformation menée par des individus tapis dans l’ombre, les élus promettent d’en découdre avec les auteurs.
« Le lotissement en question s’est fait dans les règles de l’art. Nous ne pouvons pas délibérer sur un lotissement et vouloir ensuite l’abroger alors que les bénéficiaires reçoivent leurs notifications », a déclaré Amadou Moustapha TAYE, 2e adjoint au maire.
« Ce morcellement accorde un privilège aux fils du terroir. Car, sur les 1322 lots les 1250 ont été remis au fils de Ndombo », a -til affirmé. Il assure que « les contestataires exigent que toutes les parcelles soient remises aux originaires de la localité ». « Or, dit-il, des citoyens venus d'ailleurs ont fondé leurs familles et se implantés ici. Ils sont devenus des habitants à part entière de la Commune. Nous ne pouvons-nous céder à cette forme de racisme auquel ils nous invitent », note l’élu.
« C’est l’œuvre d’adversaires politiques qui n’arrivent toujours pas à diriger leur défaite. Ils devaient avoir le courage de se dévoiler, au lieu de se cacher derrière des supposés ayants-droits », ajoute l’adjoint au maire.
Il indique que « le conseil est plus que jamais déterminé à maintenir ce lotissement. C’est une vieille doléance et une forte demande des populations ». « Ndombo Sandiéry n’a plus de terres habitables. Des tierces personnes se sont accaparées de l’assiette avec des propriétés de 30 ou 40 hectares. C’est inacceptable », a pesté M. TAYE.
« Le lotissement en question s’est fait dans les règles de l’art. Nous ne pouvons pas délibérer sur un lotissement et vouloir ensuite l’abroger alors que les bénéficiaires reçoivent leurs notifications », a déclaré Amadou Moustapha TAYE, 2e adjoint au maire.
« Ce morcellement accorde un privilège aux fils du terroir. Car, sur les 1322 lots les 1250 ont été remis au fils de Ndombo », a -til affirmé. Il assure que « les contestataires exigent que toutes les parcelles soient remises aux originaires de la localité ». « Or, dit-il, des citoyens venus d'ailleurs ont fondé leurs familles et se implantés ici. Ils sont devenus des habitants à part entière de la Commune. Nous ne pouvons-nous céder à cette forme de racisme auquel ils nous invitent », note l’élu.
« C’est l’œuvre d’adversaires politiques qui n’arrivent toujours pas à diriger leur défaite. Ils devaient avoir le courage de se dévoiler, au lieu de se cacher derrière des supposés ayants-droits », ajoute l’adjoint au maire.
Il indique que « le conseil est plus que jamais déterminé à maintenir ce lotissement. C’est une vieille doléance et une forte demande des populations ». « Ndombo Sandiéry n’a plus de terres habitables. Des tierces personnes se sont accaparées de l’assiette avec des propriétés de 30 ou 40 hectares. C’est inacceptable », a pesté M. TAYE.