Nous l’avons trouvée à l’œuvre, couverte de sueur au stade Joseph Gaye de Santhiaba. Le ballon entre la main, la reine du basket sénégalais fait des exercices de lancer-francs sous l’œil vigilant de son coach. Consécration ou confirmation ? Une question qui fait décrocher le sourire à cette battante, une combattante qui s’est tissé les lauriers à force de bravoure.
‘’C’est le prix de mes efforts même si j’envisage fortement de dépasser ce stade et d’évoluer à l’extérieur’’, dit-elle.
Interrogée sur ses manies tactiques, ses vitesses, la basketteuse est réticente d’abord mais confiante. ‘’C’est Ndar Info, c’est Ndar, je ne peux pas me dérober. Je suis Ndar-Ndar et fière de l’être’’, lâche-t-elle.
‘’ En dehors de nos exercices de groupe, je fais plusieurs entrainements individuels, deux séances chaque jour. C’est cela qui me donne la force de surpasser mes adversaires moralement et techniquement’’, explique la Guet Ndarienne.
Toutefois, elle déplore le manque de soutien au SLBC et révèle que son équipe, au même titre que la Linguère, mérite d’être appuyée par les autorités locales.
‘’C’est le prix de mes efforts même si j’envisage fortement de dépasser ce stade et d’évoluer à l’extérieur’’, dit-elle.
Interrogée sur ses manies tactiques, ses vitesses, la basketteuse est réticente d’abord mais confiante. ‘’C’est Ndar Info, c’est Ndar, je ne peux pas me dérober. Je suis Ndar-Ndar et fière de l’être’’, lâche-t-elle.
‘’ En dehors de nos exercices de groupe, je fais plusieurs entrainements individuels, deux séances chaque jour. C’est cela qui me donne la force de surpasser mes adversaires moralement et techniquement’’, explique la Guet Ndarienne.
Toutefois, elle déplore le manque de soutien au SLBC et révèle que son équipe, au même titre que la Linguère, mérite d’être appuyée par les autorités locales.