Selon le vice-président de l'Assemblée nationale, le pouvoir ne va pas accepter qu'il fasse des dérives. « Un ancien président de la République n'a pas à venir semer la zizanie, dans ce pays. Il n'a plus le droit de sillonner le pays pour faire des campagnes électorales en débitant des propos qui n'ont ni sens ni fondement », rage Moustapha Cissé Lô. De son avis la seule riposte qui vaille, c'est de laminer sa formation politique aux Locales, pour qu'il sache que les gens ne sont pas avec lui. Pour ce qui est des foules immenses et des slogans de manifeste de regret, le député de l'Apr, soutient que « ceux qui regrettent, sont ceux qui ont bénéficié de ses largesses et ils iront tous en prison ». Allant plus loin, Cissé Lô, semble partager l'information sur la mise en résidence surveillée de Wade.
« Si j'étais Macky Sall, j'enverrais la division des investigations criminelles (Dic) lui demander comment il va s'y prendre pour accéder au palais. Il faut qu'on soit sûr que Wade n'est pas venu pou n'est pas venu pour faire un coup d'Etat. Si Macky n'est pas sûr qu'il est dans cette logique, on doit le mettre en résidence surveillée », peste le responsable de l'APR.
Selon le coordonnateur adjoint de la Convergence des jeunes républicains (Cojer), Birame Faye, son parti ne répond pas au champ de la bataille de rue. « On ne va pas suivre Wade dans la rue parce que c'est son domaine », lance t-il. Il ajoute que seul, un homme sans gêne ni limite peut se sentir aussi à l'aise de se targuer des propos de turpitudes. Ainsi, le coordonnateur des jeunes de l'APR considère Wade comme « un danger ambulant à ne pas suivre, qui raconte des contres vérités. Comme ses confrères de l'APR, il lance un avertissement au pape du Sopi, « s'il se comporte en homme politique, en opposant, il donne des coups, qu'il accepte d'en recevoir ».
« Si j'étais Macky Sall, j'enverrais la division des investigations criminelles (Dic) lui demander comment il va s'y prendre pour accéder au palais. Il faut qu'on soit sûr que Wade n'est pas venu pou n'est pas venu pour faire un coup d'Etat. Si Macky n'est pas sûr qu'il est dans cette logique, on doit le mettre en résidence surveillée », peste le responsable de l'APR.
Selon le coordonnateur adjoint de la Convergence des jeunes républicains (Cojer), Birame Faye, son parti ne répond pas au champ de la bataille de rue. « On ne va pas suivre Wade dans la rue parce que c'est son domaine », lance t-il. Il ajoute que seul, un homme sans gêne ni limite peut se sentir aussi à l'aise de se targuer des propos de turpitudes. Ainsi, le coordonnateur des jeunes de l'APR considère Wade comme « un danger ambulant à ne pas suivre, qui raconte des contres vérités. Comme ses confrères de l'APR, il lance un avertissement au pape du Sopi, « s'il se comporte en homme politique, en opposant, il donne des coups, qu'il accepte d'en recevoir ».