Il y a six ans, jour pour jour, l’étudiant sénégalais Samba Lampsar Sall, en fin de formation pour l’obtention d’un diplôme d’ingénieur en télécommunication, a été assassiné par un groupe de jeunes d’extrême droite, dans la ville de Saint-Saint-Pétersbourg, en Russie. Ce june natif de Dagana a été tué froidement à Saint-Saint-Pétersbourg. Traduits devant une cour d’assises, douze des quatorze accusés ont été déclarés coupables, à l’exception notable de celui encore vivant qui lui a tiré dessus, d’après un témoin oculaire présent à l’audience.
La Cour d’assises de Saint-Pétersbourg, composée de juges professionnels et d’un jury populaire, a rendu, avant-hier, son délibéré sur l’affaire Samba Lampsar Sall, du nom de cet étudiant sénégalais assassiné le 7 avril 2006 à Saint-Pétersbourg. A l’époque, la victime s’apprêtait à soutenir sa thèse d’ingénieur en télécommunication à l’Université de Saint-Pétersbourg, en Russie. C’est le père de la victime qui a donné la nouvelle. Tout ce qu’il sait pour le moment, par l’entremise de l’avocat de la partie civile basée à Saint-Pétersbourg, c’est que sur les quatorze accusés, douze ont été déclarés coupables par la cour et le jury populaire et les deux autres blanchis. Ces accusés appartiennent à un groupe d’extrême droite néo-nazi appelé ‘la patrouille blanche’.
Mais à la grande surprise de la famille de la victime, l’un des deux accusés déclarés non coupables par la cour, était désigné, depuis le début de cette affaire, comme le meurtrier de Samba Lampsar Sall. D’ailleurs, une femme a témoigné, lors de ce procès, l’avoir vu tirer sur le jeune Sénégalais. Il s’agit d’un certain Maliouguine. Voilà pourquoi la famille de Samba Lampsar Sall ne cache pas sa déception face à cette décision de justice étrange. Aussi entend-elle se donner un temps de réflexion avec son avocat et les autorités sénégalaises qui sont partie à ce procès, en attendant que la Cour d’assises se prononce sur les peines des condamnés. Des peines qui devraient intervenir au plus tard la semaine prochaine, nous dit-on.
Le procès de l’étudiant Samba Lampsar Sall s’était ouvert le 1er juillet 2009 à Saint-Pétersbourg. C’est-à-dire trois ans après son assassinat sauvage par un groupe d’extrême droite néo-nazi appelé ‘La patrouille blanche’. Grâce à la pression des parents de la victime, des autorités sénégalaises et des organisations de défense des droits de l’homme, les auteurs de ce crime crapuleux ont été appréhendés et traduits devant la justice, à l’exception du cerveau de cette bande tué par les forces de sécurité russes au moment de son arrestation. Mais le verdict qui vient de tomber ne satisfait guère les parents de la victime. Qu’en est-il de l’Etat du Sénégal qui s’est lui aussi porté partie civile ?
La Cour d’assises de Saint-Pétersbourg, composée de juges professionnels et d’un jury populaire, a rendu, avant-hier, son délibéré sur l’affaire Samba Lampsar Sall, du nom de cet étudiant sénégalais assassiné le 7 avril 2006 à Saint-Pétersbourg. A l’époque, la victime s’apprêtait à soutenir sa thèse d’ingénieur en télécommunication à l’Université de Saint-Pétersbourg, en Russie. C’est le père de la victime qui a donné la nouvelle. Tout ce qu’il sait pour le moment, par l’entremise de l’avocat de la partie civile basée à Saint-Pétersbourg, c’est que sur les quatorze accusés, douze ont été déclarés coupables par la cour et le jury populaire et les deux autres blanchis. Ces accusés appartiennent à un groupe d’extrême droite néo-nazi appelé ‘la patrouille blanche’.
Mais à la grande surprise de la famille de la victime, l’un des deux accusés déclarés non coupables par la cour, était désigné, depuis le début de cette affaire, comme le meurtrier de Samba Lampsar Sall. D’ailleurs, une femme a témoigné, lors de ce procès, l’avoir vu tirer sur le jeune Sénégalais. Il s’agit d’un certain Maliouguine. Voilà pourquoi la famille de Samba Lampsar Sall ne cache pas sa déception face à cette décision de justice étrange. Aussi entend-elle se donner un temps de réflexion avec son avocat et les autorités sénégalaises qui sont partie à ce procès, en attendant que la Cour d’assises se prononce sur les peines des condamnés. Des peines qui devraient intervenir au plus tard la semaine prochaine, nous dit-on.
Le procès de l’étudiant Samba Lampsar Sall s’était ouvert le 1er juillet 2009 à Saint-Pétersbourg. C’est-à-dire trois ans après son assassinat sauvage par un groupe d’extrême droite néo-nazi appelé ‘La patrouille blanche’. Grâce à la pression des parents de la victime, des autorités sénégalaises et des organisations de défense des droits de l’homme, les auteurs de ce crime crapuleux ont été appréhendés et traduits devant la justice, à l’exception du cerveau de cette bande tué par les forces de sécurité russes au moment de son arrestation. Mais le verdict qui vient de tomber ne satisfait guère les parents de la victime. Qu’en est-il de l’Etat du Sénégal qui s’est lui aussi porté partie civile ?