Me El Hadj Diouf aurait expliqué que l'accusatrice est en fait sa nièce et qu'il lui a seulement lancé un vieux dicton wolof: "jaarbat, jabari baat" (ma nièce, épouse légitime). Mais que cette dernière , bien que Sénégalaise d'origine, mais ne comprenant pas bien le wolof, aurait mal interprété ses propos. Seulement à en croire d'autres sources proches du dossier interrogés par le journal Libération, cet argumentaire a été démonté par la plaignante, qui dans sa déposition, a soutenu avoir été "palpée" par l'avocat, sans consentement. Informe le journal.
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