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Le député non aligné a porté, mercredi, un regard sans complaise sur les faits qui défraient la chorionique. D’abord, sur la poursuite judiciaire de Barthélemy DIAZ pour coups et blessures volontaires, il évoque une violation de la Constitution et du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, en indiquant avoir introduit un recours pour attirer l’attention du président de l’hémicycle sur cette irrégularité.
« Lorsque le député est en session, il ne peut être poursuivit ou arrêté qu’avec l’autorisation de l’Assemblée », a expliqué maître Alioune Abatalibe GUEYE, en indiquant qu’au titre de cette immunité M. DIAZ a la peine latitude de ne pas déférer à cette convocation.
« La date fixée pour sa comparution prévue le 20. La justice n’a pas le doit, sans violer la constitution, de la faire comparaitre à cette date », a signalé l’avocat.
Il s’est par ailleurs insurgé contre le flou qui entoure le débat sur le pétrole et le gaz, entretenu par la cacophonie des déclarations entre l’État et l’opposition, en estimant qu’à la suite des dernières sorties des deux camps, le « citoyen moyen ne sait plus où s’en tenir ».
Il appelle dès lors à la mise en place d’une commission parlementaire associant des forces du pouvoir, de l’opposition et les non-alignés pour étudier le dossier et donner les éclaircissements nécessaires au peuple.
Me Abatalibe a par ailleurs évoqué une incohérence dans la marche de l’opposition, réprimée à coups de gaz lacrymogènes.
« Ils avaient dit que le fichier électoral et le pétrole étaient les principaux points de revendication de cette initiative. Au lieu de retenir, comme itinéraire, le ministère de l’Intérieur et celle de l’énergie. L’opposition s’est orientée exclusivement vers l’Intérieur », a-t-il rappelé.
> Suivez la déclaration de Me GUEYE, en vidéo ...
« Lorsque le député est en session, il ne peut être poursuivit ou arrêté qu’avec l’autorisation de l’Assemblée », a expliqué maître Alioune Abatalibe GUEYE, en indiquant qu’au titre de cette immunité M. DIAZ a la peine latitude de ne pas déférer à cette convocation.
« La date fixée pour sa comparution prévue le 20. La justice n’a pas le doit, sans violer la constitution, de la faire comparaitre à cette date », a signalé l’avocat.
Il s’est par ailleurs insurgé contre le flou qui entoure le débat sur le pétrole et le gaz, entretenu par la cacophonie des déclarations entre l’État et l’opposition, en estimant qu’à la suite des dernières sorties des deux camps, le « citoyen moyen ne sait plus où s’en tenir ».
Il appelle dès lors à la mise en place d’une commission parlementaire associant des forces du pouvoir, de l’opposition et les non-alignés pour étudier le dossier et donner les éclaircissements nécessaires au peuple.
Me Abatalibe a par ailleurs évoqué une incohérence dans la marche de l’opposition, réprimée à coups de gaz lacrymogènes.
« Ils avaient dit que le fichier électoral et le pétrole étaient les principaux points de revendication de cette initiative. Au lieu de retenir, comme itinéraire, le ministère de l’Intérieur et celle de l’énergie. L’opposition s’est orientée exclusivement vers l’Intérieur », a-t-il rappelé.
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